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    Message par Invité Ven 19 Jan - 15:38

    visionne le zinc ce reportage , il est vraiment enorme !!!!
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    11/09 - Page 2 Empty Re: 11/09

    Message par Invité Mer 14 Fév - 22:29

    11-Septembre : tant de mensonges !
    L’hostilité à la guerre en Irak progresse dans l’opinion publique américaine. Le processus préalable à la destitution de M.Bush a commencé mais n’ira sans doute pas à son terme, car les démocrates eux-mêmes n’y sont pas favorables. Derrière ce premier mouvement, un second plus vaste couve: la révolte des familles de victimes des attentats du 11-Septembre 2001.



    Ces familles, avec l’aide de deux femmes politiques américaines, Cynthia McKinney et Catherine Austin Fitts, ont soumis près de quatre cents questions aux autorités. Lesquelles ont haussé les épaules. Les familles de victimes ont alors tenté une attaque en Justice, accusant le gouvernement de complicité active dans les attentats et réclamant sept milliards de dollars de dommages et intérêts. L’avocat, M. Stanley Hilton, affirme détenir des preuves de l’implication personnelle de dix hauts dirigeants étasuniens. Le dossier a été jugé irrecevable.
    Une commission partiale Les familles de victimes ont remporté une victoire en obtenant, en 2003, la création d’une commission d’enquête indépendante. Hélas, cette commission, dite Kean-Hamilton, fut loin de l’indépendance promise. Elle fut contrôlée de bout en bout par son directeur exécutif, M. Philip Zelikow, un proche de M. Bush et de Mme Rice, qui a fait en sorte de canaliser l’énergie des enquêteurs dans une et une seule direction : Al-Qaïda. Avec le succès que l’on sait : aucune preuve contre personne et la “désinculpation” de Ben Laden. Les pistes mènent en Arabie saoudite, pas en Afghanistan. La Commission s’est employée avec l’énergie du désespoir à exonérer l’armée et l’administration de tout reproche concernant leur incapacité à empêcher les attentats. Et a fait la sourde oreille aux questions gênantes.

    Des mensonges Le gouvernement Bush a menti sur la présence d’armes de destruction massive en Irak. Il a menti sur la prétendue complicité de Saddam Hussein dans le 11-Septembre. Il a menti sur la prétendue implication des talibans dans le 11-Septembre. Il a menti en accusant Ben Laden, aujourd’hui discrètement désinculpé. Il a menti en affirmant que les USA n’étaient pas préparés à une telle attaque. Il a menti en affirmant que l’accord du président en personne était nécessaire pour abattre un avion de ligne détourné. Il a menti en affirmant que l’air newyorkais ne présentait aucun danger au lendemain des attentats. Le gouvernement Bush est incapable d’expliquer pourquoi les services secrets savaient et n’ont rien fait ; d’expliquer pourquoi la chasse aérienne aurait pu intervenir et ne l’a pas fait ; d’expliquer pourquoi la tour World Trade Center 7 est tombée ; de trouver à qui ont profité les colossaux délits d’initié commis ce jour-là. Même l’explication de la chute des tours jumelles par les experts gouvernementaux est bancale, et ils en conviennent. L’enquête officielle est un gruyère, pour ne pas dire qu’elle n’est que les trous du gruyère. Les preuves n’ont jamais été apportées et les deux guerres du 11-Septembre, l’Afghanistan et l’Irak, sont illégales.

    Un avion fantôme Pour croire à la version officielle des faits le 11-Septembre, celle des dix-neuf pirates armés de cutters qui détournent quatre avions, il faut croire que les services secrets sont un ramassis d’incompétents, que les contrôleurs aériens sont un ramassis d’incompétents (incapables de décrocher un téléphone), que les militaires sont un ramassis d’incompétents (incapables durant 1 heure 50 d’envoyer un avion) et que les enquêteurs sont un ramassis d’incompétents. En un mot, que les États-Unis sont un pays délabré où plus rien ne fonctionne. Il faut croire aux pitoyables explications des autorités affirmant que les avions de chasse volent à 300 km/h ; que tantôt leurs radars sont incapables de retrouver un Boeing dans le ciel ; que tantôt au contraire ils voient un Boeing fantôme dans le ciel vide au nord de New-York, qui les entraîne dans la mauvaise direction. Il faut croire qu’après l’impact dans la deuxième tour, on a "oublié" pendant une heure de protéger le président Bush, en visite dans un lieu public connu de tous (une école). Il faut croire que 120 agents du Mossad, infiltrés sur le territoire américain sous diverses couvertures, avaient pour mission de surveiller les douze pirates et que malgré cette présence massive, ils n’ont pas su les arrêter. Oui, douze pirates et non dix-neuf, car l’identité de cinq à sept pirates est contestée, problème que le FBI reconnaît mais ne s’emploie pas à résoudre. Il faut croire à un monde magique où M. Bush est un humaniste animé du seul désir d’apporter la démocratie, la paix et la prospérité aux Irakiens (et n’a même pas jeté un oeil au pétrole). Un monde magique où une tour moderne de 47 étages s’écroule sans raison, sans que personne ne s’en étonne. Il s’agit de la tour WTC 7, tombée à 17 heures le 11 septembre sans qu’aucun expert n’ait trouvé le moindre début d’explication puisque selon leurs dires, "la meilleure hypothèse [une réserve de fioul en sous-sol] est hautement improbable". Un monde magique où les 47 poutres d’acier colossales qui forment le coeur des tours jumelles peuvent disparaître et réapparaître comme par enchantement et notamment, disparaître quand elles gênent le raisonnement. Si l’on accepte tout cela et encore davantage, alors la théorie officielle sur le 11-Septembre est acceptable.

    Rumeur ? Il n’y a pas de "rumeur Internet". On parle de rumeur lorsque l’origine de l’information est diffuse et inconnue. Or, des historiens, des journalistes, des intellectuels et des experts bien identifiés enquêtent sur le 11-Septembre et leurs travaux sont en librairie. Mais étonnamment, personne ne semble s’intéresser à ces travaux et les médias, à de rares exceptions près, semblent ignorer jusqu’à leur existence. En réalité, cette ignorance est feinte puisque l’éditeur français le plus important sur le sujet, Demi-Lune, a envoyé 220 exemplaires de ces livres à des journalistes, après Jimmy Walter qui leur a envoyé mille DVD montrant une conférence publique donnée aux USA par ces chercheurs. Quoi qu’il en soit, chacun peut aisément vérifier : 1- l’existence de ces ouvrages et surtout leur qualité 2- l’absence de réponse dans les médias. Pour ce faire, une demi-heure suffit : entrer successivement le nom des différents chercheurs dans le moteur de recherche des journaux (Le Monde, Libération, etc. Cette absence de réaction est absolument anormale. Au minimum, si ces ouvrages recèlent des erreurs, seule une lecture minutieuse et une contre-enquête poussée peuvent les dévoiler, travail qui n’a donc pas été entrepris puisque les médias "ignorent" l’existence desdits ouvrages. Seule une contre-enquête fouillée et rigoureuse permettra de rendre un jugement définitif.

    Chape de plomb Mais aux États-Unis, une chape de plomb recouvre l’affaire et les autorités ne répondent même pas aux journalistes venus infirmer les "rumeurs" : elles se réfugient derrière le respect des victimes et la sécurité nationale. Même publier la facture téléphonique des appels passés par les passagers depuis les avions menace la sécurité nationale, dirait-on, appels qui étaient d’ailleurs techniquement impossibles à l’époque. Une pénurie d’information est ainsi organisée, dont le silence des médias européens est le reflet. Le public est à la fois peu et mal informé et le fait suivant en témoigne : le public et même des journalistes continuent à imputer la responsabilité du 11-Septembre à Ben Laden alors que le cerveau est en réalité Khalid Sheikh Mohammed, pour l’heure un illustre inconnu. Qui se tromperait sur le personnage à l’origine de la Deuxième Guerre mondiale ?

    Coïncidences L’histoire éclaire parfois l’actualité. Des documents déclassifiés nous apprennent que l’attaque de Pearl Harbor en 1941 était un "laisser-faire" de la part des Américains. Le président Roosevelt voulait entrer en guerre mais l’opinion publique américaine y était hostile. Roosevelt, prévenu de l’attaque japonaise, a laissé faire et le lendemain, l’opinion a basculé. Le 11 septembre 2001, les responsables dont le comportement a le plus porté à suspicion sont parfois les mêmes qui, dans un document intitulé « Reconstruire les défenses de l’Amérique », évoquent un « nouveau Pearl Harbor » qui seul débloquerait les moyens financiers nécessaires à un ambitieux programme militaire. Ces personnes appartiennent à un groupe de pression militariste, le PNAC, qui prône la domination américaine sur le monde. Ces personnes n’ont pas été blâmées mais au contraire, promues. Pas étonnant que rien ne fonctionne aux États-Unis si les individus qui défaillent sont récompensés.

    Conclusion Quelles leçons tirer ? Devant un tel tableau, j’invite le général Myers à écrire vingt fois : « Lorsque les méchants attaquent, j’agis. » Je demande aux services secrets de mobiliser dorénavant vingt personnes par suspect sous surveillance et non dix, les terroristes étant de toute évidence beaucoup plus malins. Aux geôliers de Guantanamo, pouvez-vous torturer un taliban afin qu’il nous dise comment il fait tomber une tour sans la toucher ? (la tour 7, donc) Cela intéressera les entreprises qui démolissent les vieux immeubles avec des explosifs, vieille technique du siècle passé. Enfin, Messieurs les Américains, et en souvenir de la tour 7, tâchez à l’avenir de construire des tours plus solides que vos théories.
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    Message par Invité Jeu 15 Fév - 15:56

    Brzezinski confirme que les États-Unis peuvent organiser des attentats sur leur propre territoire





    A l’exception de The Washington Note et du Financial Times, les grands médias ont décidé de ne pas rapporter les propos de Zbigniew Brzezinski qui bouleversent la classe dirigeante états-unienne. Auditionné le 1e février 2007 par la Commission des Affaires étrangères du Sénat, l’ancien conseiller national de sécurité a lu une déclaration dont il avait soigneusement pesé les termes.

    Il a indiqué : « Un scénario possible pour un affrontement militaire avec l’Iran implique que l’échec irakien atteigne les limites américaines ; suivi par des accusations américaines rendant l’Iran responsable de cet échec ; puis, par quelques provocations en Irak ou un acte terroriste sur le sol américain dont l’Iran serait rendu responsable. Ceci pourrait culminer avec une action militaire américaine "défensive" contre l’Iran qui plongerait une Amérique isolée dans un profond bourbier englobant l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan et le Pakistan »

    Vous avez bien lu : M. Brzezinski a évoqué la possible organisation par l’administration Bush d’un attentat sur le sol des États-Unis qui serait faussement attribué à l’Iran pour provoquer une guerre.

    À Washington les analystes hésitent entre deux interprétations de cette déclaration. Pour les uns, l’ancien conseiller national de sécurité a tenté de couper l’herbe sous les pieds des néoconservateurs et de jeter le doute à l’avance sur toute circonstance qui conduirait à la guerre. Pour d’autres, M. Brzezinski a voulu, en outre, suggérer qu’en cas d’affrontement avec les partisans de la guerre, il pourrait rouvrir le dossier du 11 septembre. Quoi qu’il en soit, l’hypothèse de Thierry Meyssan — selon laquelle les attentats du 11 septembre auraient été perpétrés par une faction du complexe militaro-industriel pour provoquer les guerres d’Afghanistan et d’Irak — quitte soudainement le domaine du tabou pour être discutée publiquement par les élites de Washington.
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    Message par Invité Ven 23 Fév - 15:55

    http://www.thewashingtonnote.com/archives/001916.php
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    Message par brice Ven 23 Fév - 15:58

    J'ai ouvert le lien, j'ai parcouru la page, j'ai flippé sur la longueur, j'ai refermé ....

    Toutes mes excuses pour cet accès de flemme ........
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    Message par Invité Mer 7 Mar - 15:06

    11 septembre : la BBC a annoncé l’effondrement du bâtiment 7 avant qu’il ne se produise...
    Une incroyable vidéo de BBC World filmée en direct le 11 septembre 2001 et récemment diffusée sur Internet révèle que la BBC a annoncé l’effondrement du bâtiment 7 du World Trade Center 23 minutes avant qu’il ne se produise. Dans un premier temps, BBC World a été incapable de confirmer ou d’infirmer les faits car, tenez-vous bien, la chaîne a perdu tous les enregistrements du 11 septembre 2001! Finalement, BBC World a fini par admettre l’intégrité de la vidéo. Et les grands médias dans tout ça? Eh bien, ils ont passé toutes ces informations complètement sous silence!



    Les faits

    Le 11 septembre 2001, le bâtiment 7 du complexe du World Trade Center, un immeuble de 47 étages, s’effondre soudainement à 17 h 20 (heure locale), soit environ sept heures après l’effondrement des tours jumelles. Selon la version officielle, issue d’un rapport publié en mai 2002 par l’Agence fédérale des situations d’urgence (FEMA), la meilleure hypothèse serait que des feux aux 5e et 7e étages aient affaibli la structure en acier du bâtiment jusqu’à provoquer son effondrement. FEMA admet toutefois que cette meilleure hypothèse était improbable [1].


    Or, voici qu’une vidéo (accessible en fin de page) mise récemment sur Internet montre que BBC World a annoncé en direct l’effondrement du bâtiment 7 quelque 23 minutes avant que le bâtiment ne s’effondre. La vidéo est franchement surréaliste. Une journaliste de la BBC, Jane Standley, debout devant une baie vitrée, avec en arrière-plan les ruines fumantes de Manhattan, nous explique que le bâtiment 7 (auquel la journaliste réfère par son autre nom "Salomon Brothers Building") vient de s’effondrer alors que l’on peut l’apercevoir derrière elle encore debout. Malheureusement, la communication est interrompue avant que le bâtiment 7 ne s’effondre en direct.


    La polémique a rapidement pris de l’ampleur sur Internet (mais seulement sur le Net car les médias établis l’ont complètement occulté) au point de provoquer une réaction de la BBC sommée par de nombreux internautes de confirmer ou d’infirmer l’intégrité de la vidéo et l’heure exacte de sa diffusion.


    La première réponse de la BBC (datée du 27 février 2007), par l’intermédiaire de Richard Porter, le responsable de l’information (Head of news) sur BBC World, est franchement inattendue : tous les enregistrements originaux du 11 septembre 2001 de BBC World ont été perdus !


    Finalement, dans une seconde réponse (datée du 2 mars 2207), Richard Porter explique que des sources qu’il ne peut clairement identifier (pompiers ou médias locaux ?) auraient annoncé environ une heure à l’avance que des feux dans le bâtiment 7 allaient probablement provoquer son effondrement. Cette information aurait ensuite été reprise par la BBC.


    Pourquoi les médias établis ont-ils complètement occulté ces informations ?


    Les informations ci-dessus n’ont été diffusées par aucun grand média (vous pouvez le vérifier vous-même ici et ici).


    Cela ne choque-t-il donc personne que la BBC (et apparemment aussi CNN) ait annoncé l’effondrement du bâtiment 7 plus de vingt minutes avant qu’il ne se produise, alors que les feux dans le bâtiment étaient à peine visibles et que même l’agence gouvernemental FEMA a admis que l’effondrement de la structure en acier était improbable ?


    Et le fait que BBC World déclare avoir perdu tous les enregistrements du 11 septembre 2001 ne serait-il pas non plus digne d’être rapporté dans les médias ?


    Comment se fait-il qu’il ait fallu une vidéo publiée sur Internet pour que le responsable de l’information de BBC World s’aperçoive avec cinq ans et demi de retard que sa chaîne a annoncé l’effondrement du bâtiment 7 avant que celui-ci ne se produise ?


    Quelle que soit la conclusion que chacun tire sur ce qui est vraiment arrivée au bâtiment 7 le jour du 11 septembre 2001, une conclusion s’impose à l’évidence : les médias établis n’ont pas fait et ne font pas toujours pas leur travail d’information et d’investigation en ce qui concerne les événements du 11 septembre 2001.



    [1] "Loss of structural integrity was likely a result of weakening caused by fires on the 5th to 7th floors. The specifics of the fires in WTC 7 and how they caused the building to collapse remain unknown at this time. Although the total diesel fuel on the premises contained massive potential energy, the best hypothesis has only a low probability of occurrence. Further research, investigation, and analyses are needed to resolve this issue." [Ch. 5, p. 31.]


    http://agoravox.fr/article.php3?id_article=20192
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    Message par brice Mer 7 Mar - 20:10

    Quand saura t-on toute la vérité sur le 11 septembre ?
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    Message par Invité Mer 7 Mar - 22:01

    je pense que ce sera comme pr kennedy , probablement ds 100 ou 200 ans qd tt le monde s en foutra !!!

    car pr l instant , si jamais le theorie du complot etait la bonne , c est tt le systeme politique americain qui exploserait , guerre civile etc ...

    en tt cas , sans avoir la pretention de savoir ou est la verité , qd on est un minimum informé , on a le droit d exiger certaines reponses ... comme par exemple , ou st ttes les videos confisquees concernant le pentagone ???

    en tt cas , la reponse de la bbc qui annoncait avoir egarer tt les enregistrements du 11 septembre , je trouve ca ENORMISSIME !!!
    brice
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    Message par brice Jeu 8 Mar - 11:40

    Peut-être sont-ils tombés sur un collaborateur archiviste négligeant ....
    Ne sois pas si suspicieux Jb ....
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    Message par Invité Jeu 8 Mar - 14:52

    hihihihihi!!! lol! lol! lol! lol!

    je trouve ca enorme !!!
    Frantz
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    Message par Frantz Ven 9 Mar - 15:34

    encore un coup de Jack Bauer !!!
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    Message par Invité Jeu 15 Mar - 14:54

    Khalid Mohamed revendique les attentats du 11 septembre 2001


    agrandir la photo
    WASHINGTON (Reuters) - Khalid cheikh Mohamed, cerveau présumé des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, a revendiqué "de A à Z" la responsabilité de ces attaques lors d'un interrogatoire à Guantanamo, selon le compte rendu de l'audition diffusé mercredi par le Pentagone.

    "Je suis responsable de l'opération 11-Septembre, de A à Z", a déclaré Mohamed, selon un texte lu en son nom par son "représentant personnel", un militaire américain, lors de cette audition qui a eu lieu samedi au centre de détention.

    Mohamed a également assumé la responsabilité d'autres actions majeures du réseau islamiste Al Qaïda: le premier attentat de 1993 contre le World Trade Center à New York, les attentats de Bali en 2002 et la tentative d'attentat contre deux avions américains à l'aide de chaussures piégées.

    Au total, l'activiste pakistanais se dit pleinement responsable de 28 attentats ou projets d'attentat distincts.

    Il dit aussi partager la responsabilité de trois autres complots, dont un qui visait à assassiner le défunt pape Jean Paul II aux Philippines et un autre le président pakistanais Pervez Musharraf.

    "J'étais le directeur opérationnel de cheikh Oussama ben Laden pour l'organisation, la planification, le suivi et l'exécution de l'opération 11-Septembre", a déclaré Mohamed via son représentant.

    Il s'est également exprimé lui-même, en anglais, toujours selon ce compte rendu.

    L'audition visait à déterminer s'il devait être déclaré "combattant ennemi" et voir dans ce cas sa détention prolongée indéfiniment.

    ALLUSION A DANIEL PEARL

    Mohamed, arrêté au Pakistan en mars 2003 et remis aux mains des autorités américaines, figure parmi 14 prisonniers de "grande valeur" identifiés par les Etats-Unis et transférés à Guantanamo l'année dernière après avoir été détenus dans des prisons secrètes de la CIA.

    Lors de son audition, Mohamed a semblé laisser entendre qu'il avait été maltraité en détention. Le président du panel de trois militaires qui conduisait l'interrogatoire a fait référence à une déclaration écrite "concernant des allégations d'abus ou de mauvais traitements que le détenu a reçus".

    Mohamed a déclaré cependant qu'aucune pression n'avait été exercée sur lui pour sa déclaration de samedi.

    Il a fait allusion au journaliste américain Daniel Pearl, assassiné au Pakistan en 2002, mais en des termes peu clairs. Mohamed est le premier suspect dans ce meurtre. Musharraf a affirmé dans un texte l'an dernier que Mohamed avait exécuté Pearl.

    A propos des attentats du 11 septembre, le responsable d'Al Qaïda exprime quelques regrets pour les victimes. "Je ne suis pas heureux que trois mille personnes aient été tuées en Amérique. Je me sens même désolé."

    Mais, ajoute-t-il, "le langage de n'importe quelle guerre dans le monde est la mort. Je veux dire que le langage de la guerre est de faire des victimes."

    Mohamed compare le chef d'Al Qaïda Oussama ben Laden à George Washington, le premier président des Etats-Unis. "Il fait la même chose. Il combat, il veut son indépendance."

    Le compte rendu, consultable à l'adresse internet http://www.defenselink.mil/news/transcript ISN10024.pdf, a été revu et corrigé par les services du Pentagone, qui ont justifié cette mesure par la nécessité de ne pas révéler d'informations sensibles.


    scratch scratch scratch scratch scratch scratch mwai..... ca sent la manipulation a plein nez ...
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    Message par Invité Lun 26 Mar - 13:51

    Des experts face au 11-Septembre : entre doutes et accusations
    Les remises en question de l’histoire officielle du 11-Septembre sont, pense-t-on parfois, le fait exclusif d’internautes désoeuvrés et sans aucune crédibilité. En réalité, elles sont aussi largement portées par des experts. Ces prises de position éclairées ne devraient laisser personne indifférent.



    Un site Internet, Patriots Question 9/11, recense les contestations de plus de 90 personnalités, officiers supérieurs de l’armée des Etats-Unis, agents du renseignement, hommes politiques américains et du monde entier, et même, membres de la Commission d’enquête sur le 11 septembre. Sans oublier celles de près de 120 professeurs d’université, philosophes, historiens, politologues, juristes, économistes, mathématiciens, physiciens, chimistes, ingénieurs, etc. Autant de personnalités qui peuvent se prévaloir d’un statut, d’une autorité, et dont les mots pèsent du lourd poids de leur expertise reconnue. Etat des lieux - non exhaustif - de ces contestations « autorisées ».



    Mensonges et omissions face à la Commission



    Thomas Kean et Lee Hamilton sont, respectivement, les président et vice-président de la commission qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001. Cette commission a rendu un rapport le 22 juillet 2004, qui fixe ce qu’il convient d’appeler l’histoire officielle du 11-Septembre. En août 2006, les deux hommes sortent un livre, Without Precedent : The Inside Story of the 9/11 Commission, qui raconte les coulisses de l’enquête. On y apprend, avec stupéfaction, que tous les témoignages apportés par les agents de la FAA [Federal Aviation Administration] et du NORAD [North American Aerospace Command], au sujet de la non-intervention des chasseurs durant l’attaque, se sont avérés faux : « All of the after-action reports, accident investigations and public testimony by FAA and NORAD officials advanced an account of 9/11 that was untrue » (Washington Post du 4 août 2006).



    Il semble même que l’on puisse parler de tromperie délibérée de la part du Pentagone, selon le Washington Post du 2 août 2006 : « The Pentagon’s initial story of how it reacted to the 2001 terrorist attacks may have been part of a deliberate effort to mislead the commission and the public [...]. "We, to this day, don’t know why NORAD told us what they told us", said Thomas H. Kean [...]. "It was just so far from the truth." » Tromperie qui avait déjà été dénoncée durant une audience du Congrès, le 31 juillet 2004, par le sénateur Mark Dayton.



    Un fâcheux oubli



    En septembre 2006, le journaliste Bob Woodward révèle que, le 10 juillet 2001, le directeur de la CIA de l’époque, George Tenet, accompagné de son directeur du contre-terrorisme, Cofer Black, a rendu visite à la secrétaire d’Etat Condoleezza Rice à la Maison Blanche, pour l’informer d’une attaque d’Al-Qaida imminente. Rice aurait, semble-t-il, négligé l’alerte de ses visiteurs. Les trois personnages, interrogés par la Commission, à la fois en privé et en public, et tenus de dire la vérité, ont "oublié" de parler de cette rencontre, qui aurait suscitée, si elle avait été connue, de très nombreuses questions de la part des enquêteurs.



    Peter Rundlet, conseiller pour la Commission, dénonce avec colère, le 30 septembre 2006, cette dissimulation et s’interroge gravement sur ce silence : « Was it covered up ? [...] At a minimum, the withholding of information about this meeting is an outrage. Very possibly, someone committed a crime. And worst of all, they failed to stop the plot. » Un membre de la Commission, Timothy Roemer, se dit, quant à lui, profondément perturbé et même furieux de cette omission (New York Times du 1er octobre 2006).



    Rendez-vous dans un siècle



    Dans une interview à CBC News le 21 août 2006, Lee Hamilton déplore les très mauvaises conditions dans lesquelles l’enquête a dû être menée : démarrage tardif, manque de temps et de moyens, résistance de certains, difficulté à accéder aux documents et aux gens... La Commission, confrontée à tant d’obstacles, était, selon lui, vouée à l’échec. Un échec programmé.



    Hamilton reconnaît que la Commission n’est pas parvenue à établir toute la vérité, et prédit que l’on enquêtera sur le 11 septembre durant encore un siècle : « People will be investigating 9/11 for the next hundred years in this country, and they’re going to find out some things that we missed here. »



    Les membres de la Commission eux-mêmes reconnaissent qu’ils ont été trompés, qu’on leur a menti ou qu’on ne leur a pas tout dit, que leur travail est donc incomplet et défaillant. D’autres avis, extérieurs à la Commission, vont dans le même sens. Ainsi, Paul Hellyer, ancien ministre canadien de la Défense nationale, regrette la superficialité de l’enquête et son manque de transparence. Raymond McGovern, ancien analyste de la CIA durant 27 ans, estime qu’il y a bel et bien eu dissimulation, et que le rapport de la Commission n’est rien moins qu’une "blague".



    Une histoire officielle "impossible"



    L’histoire officielle semble bien ne pas pouvoir tenir la route, si l’on se fie aux doutes émis par le colonel Ronald Ray, ancien adjoint du secrétaire à la Défense sous Ronald Reagan : "I’m astounded that the conspiracy theory advanced by the administration could in fact be true and the evidence does not seem to suggest that’s accurate." Catherine Austin Fitts, assistante du secrétaire au Logement de la première administration Bush, n’hésite pas à dire (dans cette interview du 9 septembre 2004, à la 52e minute) : "The official story could not possibly have happened. [...] It’s not possible."



    Le lieutenant-colonel Robert Bowman, retraité de l’US Air Force, prend encore moins de réserves, assimilant l’histoire officielle à un "tas de sottises". Jugement similaire chez le capitaine Gregory Zeigler, ancien agent du renseignement dans l’US Army. Quant à Philip Berg, ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie, il parle sans détours de "mensonge". Giulietto Chiesa, membre italien du Parlement européen, affirme enfin sans ambages, le 18 novembre 2005, que l’histoire qu’on veut nous imposer est complètement fausse.



    Penchons-nous à présent sur des éléments plus concrets, sur des remises en question plus ciblées de l’histoire officielle du 11-Septembre. Commençons par l’effondrement des tours.



    Des tours dynamitées ?



    Beaucoup ont déjà entendu parler de l’opinion émise par Danny Jowenko, ce spécialiste néerlandais de la démolition contrôlée. Lorsqu’une équipe de télévision vint le voir pour lui faire visionner la chute de la tour 7 du World Trade Center, dont il n’avait d’ailleurs jamais entendu parler (le rapport de la Commission n’en faisant lui-même pas mention), son jugement fut sans appel : c’était pour lui une démolition contrôlée. Nul doute dans son esprit (voir cette vidéo : version courte sous-titrée en français, ou version longue sous-titrée en anglais).



    D’autres personnalités ont rejoint cet avis, pour parfois l’étendre aux deux autres tours, aux Twin Towers. Ainsi, Paul Craig Roberts, secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration Reagan, déclare avec assurance, le 16 août 2006, qu’il n’est pas pensable qu’un immeuble, en particulier s’il est doté de colonnes en acier, s’effondre à la vitesse de la chute libre... de manière tout à fait naturelle. Pour le lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski, qui a travaillé auprès du directeur de la NSA [National Security Agency] et dans l’Air Force durant 20 ans, l’effondrement des tours du WTC viole, ni plus ni moins, les lois de la probabilité et de la physique.



    David Griscom, chercheur en physique et membre de la Société de Physique américaine, salue, quant à lui, le travail de David Ray Griffin, l’un des leaders du mouvement Scholars for 9/11 Truth, qui affirme que des explosifs ont été utilisés pour abattre les trois tours du WTC. Même conviction chez William Christison, ancien officier du renseignement national, membre de la CIA durant 28 ans, où il a notamment dirigé le Bureau de l’Analyse régionale et politique. Robert David Steele, officier du renseignement durant 20 ans, notamment à la CIA, se focalise sur le WTC 7 et affirme, de manière tout à fait catégorique, le 27 octobre 2006 : "I’m absolutely certain that WTC 7 was brought down by controlled demolition."



    Un Boeing dans le Pentagone ?



    Plus surprenantes peuvent paraître les mises en doute sur ce qui s’est passé au Pentagone. Même si aucun film n’a jamais été diffusé par les autorités américaines, qui prouve le crash d’un Boeing, des témoins existent, qui ont décrit l’arrivée et le crash d’un gros avion de ligne. Ceci n’empêche pas le colonel George Nelson, retraité de l’US Air Force, où il a travaillé durant 34 ans, notamment en tant qu’enquêteur sur les accidents d’avions, d’afficher de très sérieux doutes : "Any unbiased rational investigator could only conclude that a Boeing 757 did not fly into the Pentagon as alleged." Le commandant Douglas Rokke, retraité de l’US Army, va plus loin ; il est convaincu que c’est un missile qui a frappé le Pentagone, arguant de la petite taille du trou fait dans le bâtiment et de la nature des dégâts causés.



    Le capitaine Russ Wittenberg, ancien pilote de chasse de l’US Air Force, et pilote de ligne durant 35 ans pour Pan Am et United Airlines, est tout aussi catégorique. Il est, selon lui, impossible qu’un Boeing ait pu effectuer une trajectoire aussi complexe et précise que celle réalisée par l’engin qui a frappé le Pentagone : "There was absolutely no possibility that Flight 77 could have "descended 7,000 feet in two minutes, all the while performing a steep 270 degree banked turn before crashing into the Pentagon’s first floor wall without touching the lawn." Sans toucher la pelouse... Wittenberg ne croit pas qu’un pilote puisse prendre subitement les commandes d’un avion aussi difficile à contrôler pour le manier avec un telle aisance (comme un as du vol qu’Hani Hanjour, le pilote présumé, n’était d’ailleurs pas) : "There is not one chance in a thousand". Invoquant le fait qu’on n’a pas retrouvé les restes de l’énorme Boeing 757 au Pentagone, il conclut que la cause des dégâts est probablement un missile.



    Barbara Honegger, journaliste spécialisée dans les affaires militaires, évoque, dans un essai publié le 6 septembre 2006, l’utilisation d’un avion militaire, seul capable de déjouer le système de défense du Pentagone, de neutraliser ses batteries de missiles antiaériens, en émettant un signal "ami".



    Dick Cheney... savait ? savait pas ?



    Si c’est bien le vol 77 d’American Airlines qui a frappé le Pentagone, peut-on croire que les autorités américaines ont été surprises par son crash, ne l’ont pas vu venir ? Selon le rapport de la Commission, le gouvernement n’a pas eu connaissance de la position du vol 77 avant 9h32 (soit 5 minutes avant le crash). Or, le témoignage de Norm Mineta, secrétaire au Transport entre 2001 et 2006, vient contredire cette version. Mineta, devant la Commission, a affirmé s’être rendu à 9h20 à la Maison Blanche, au Centre Présidentiel des Opérations d’Urgence (PEOC), et y a vu, vers 9h25, le vice-président Dick Cheney en discussion avec un assistant, qui venait régulièrement l’informer de la progression du vol 77 (de la distance qui le séparait encore du Pentagone ?) : "There was a young man who had come in and said to the vice president, "The plane is 50 miles out. The plane is 30 miles out." [...] "The plane is 10 miles out". On ne sait guère quand a commencé cet échange entre Cheney et son assistant. Quoi qu’il en soit, le vol 77 était repéré bien avant l’heure indiquée dans le rapport. Un rapport qui maintient, par ailleurs, que Dick Cheney n’est arrivé au PEOC qu’à 9h58 ! Un rapport qui, finalement, n’a pas intégré le témoignage, fort dérangeant, de Norm Mineta...
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    Message par Invité Lun 26 Mar - 13:52

    Après ces aspects "techniques" - chute des tours et crash sur le Pentagone -, il convient d’évoquer d’autres aspects fondamentaux de ces attentats, à commencer par leur financement.



    Le scandale Mahmoud Ahmad & Omar Sheikh



    La congressiste Cynthia McKinney a rappelé, le 18 août 2005, que nous ne savions toujours pas officiellement qui avait commis les attentats, ni qui les avait financés. Michael Meacher, ancien ministre britannique de l’Environnement, fait, lui aussi, remarquer (dans ce documentaire de la télévision néerlandaise, à 12min35) que l’enquête n’a pas su déterminer qui a financé les attentats, tout en prétendant - ce qui est ahurissant - que cela n’a, au fond, pas grande importance [voir le rapport de la Commission, page 172]... alors qu’il va de soi que c’est un point absolument capital !


    Cynthia McKinney pose la bonne question : "What about the terrorist Omar Said Sheikh ?" Les services secrets indiens sont, en effet, à l’origine d’une révélation stupéfiante : le chef des services secrets pakistanais (ISI), Mahmoud Ahmad, a transféré, en juillet 2001, 100 000 dollars au chef présumé des pirates de l’air du 11-Septembre, Mohammed Atta, par l’intermédiaire de Omar Sheikh. Information donnée le 9 octobre 2001 par le Times of India, puis par de nombreux médias occidentaux (AFP, Wall Street Journal, London Times...), confirmée par Dennis Lormel, le directeur de la section financière du FBI. Quelques jours avant le début de la guerre en Afghanistan le 7 octobre 2001, Ahmad a été poussé à la démission, sous la pression des Américains. Depuis, il n’a fait l’objet d’aucune enquête, ni d’aucune poursuite, de la part du Pakistan ou des Etats-Unis (sources).


    Michael Meacher s’étonne de cette absence de poursuite judiciaire, dans le Guardian du 22 juillet 2004 : "When Ahmed was exposed by the Wall Street Journal as having sent the money to the hijackers, he was forced to "retire" by President Pervez Musharraf. Why hasn’t the US demanded that he be questioned and tried in court ?" Question lancinante, il est vrai, pour les esprits pas totalement endormis...


    Le rapport de la Commission reste, quant à lui, parfaitement muet sur ces faits. Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche le 16 mai 2002, un journaliste indien interrogea Condoleezza Rice sur toute cette histoire ; la secrétaire d’Etat écarta la question d’un revers de main, prétendant qu’elle n’en avait jamais entendu parler... (voir 9/11 Press For Truth à 68min05sec, ou ici). L’Asia Times, dans un article du 8 avril 2004, nous donne peut-être la raison de ce mutisme : "If Mahmoud was really involved in September 11, this means the Pakistani ISI - "the state within the state" - knew all about it. And if the intelligence elite in Pakistan knew it, an intelligence elite in Saudi Arabia knew it, as well as an intelligence elite in the US." Le grand public a-t-il jamais entendu parler de Mahmoud Ahmad depuis cinq ans et demi ?


    L’énorme affaire Able Danger


    Autre scandale, dont les Français n’ont, dans leur très grande majorité, jamais entendu parler : le 19 juin 2005, un article du Times Herald révèle l’existence d’une unité de renseignement militaire du nom de "Able Danger", placée sous l’autorité du Commandement des Opérations Spéciales de l’armée des Etats-Unis (SOCOM), qui avait, selon toute vraisemblance, repéré quatre des futurs kamikazes plus d’un an et demi avant le 11 septembre ; il s’agissait de Mohammed Atta, Marwan Alshehhi, Khalid Almihdhar et Nawaf Alhazmi. Les quatre hommes avaient été identifiés comme des membres d’Al-Qaida oeuvrant aux Etats-Unis, dans la cellule dite "de Brooklyn". Or, à en croire le rapport de la Commission, Atta et Alshehhi étaient restés inconnus des services de renseignement jusqu’au jour des attentats.


    L’affaire a été véritablement médiatisée grâce à l’intervention du représentant républicain du Congrès Curt Weldon, le 27 juin 2005, devant la Chambre des Représentants. L’homme tient ses informations du lieutenant-colonel Anthony Shaffer, qui prétend avoir été associé à Able Danger. Ses allégations ont été confirmées le 22 août 2005 par Scott Philpott, un capitaine de la Navy (voir The New York Times, ou Fox News) ; selon ce dernier, "Atta was identified by Able Danger by January-February of 2000". Le 27 août 2005, c’était au tour d’une troisième source, James Smith - qui prétend avoir travaillé sur l’aspect technique de l’opération Able Danger -, de confirmer cette incroyable histoire (Fox News). Suite à leurs découvertes, les membres de l’unité Able Danger avaient recommandé au SOCOM que le FBI soit chargé de démanteler la cellule de Mohammed Atta ; mais les avocats du SOCOM leur avaient rétorqué que ces informations ne pouvaient pas être partagées avec le FBI.


    Dans un article du Wall Street Journal du 17 novembre 2005, Louis Freeh, directeur du FBI entre 1993 et 2001, considère que ces faits sont les plus importants révélés depuis la fin de l’enquête officielle. Selon lui, les découvertes réalisées par Able Danger auraient dû permettre l’arrestation des membres de la cellule de Mohammed Atta. La Commission, de son côté, osa affirmer, en août 2005, que l’opération Able Danger n’était, à ses yeux, "pas historiquement importante". Ce qui conduit Freeh à s’interroger avec gravité sur la négligence de la Commission, dont il va jusqu’à remettre en cause la crédibilité : "This astounding conclusion [...] raises serious challenges to the commission’s credibility and, if the facts prove out, might just render the commission historically insignificant itself."


    "Laisser-faire" du gouvernement US ?


    Tant d’anomalies dans l’enquête officielle font envisager à certains un "laisser-faire" des autorités américaines, qui avaient besoin de ces attentats pour justifier leur entrée en guerre au Moyen-Orient, leur implantation dans cette zone riche en pétrole, et, plus généralement, pour mettre en branle le plan du PNAC [Project for the New American Century], qui vise à assurer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis au XXIe siècle.


    Ainsi, pour Robert Bowman, "the very kindest thing we can say is that they were aware of impending attacks and let them happen". Pour Michael Meacher, "il est clair que les autorités américaines ont fait peu ou rien pour empêcher les événements du 11 septembre." Il rappelle qu’"au moins 11 pays ont averti à l’avance les Etats-Unis des attaques du 11 septembre." Pour John Loftus, ancien procureur fédéral américain et expert en terrorisme, la CIA et le FBI, avec la masse considérable d’informations dont ils disposaient, ne peuvent pas sérieusement se réfugier derrière leur prétendue incompétence pour rendre compte de leur défaillance.


    Paul Craig Roberts affirme sans détours : "The 9/11 "terrorist attack" has been manipulated to serve a hegemonic agenda in the Middle East." Avis partagé par David Shayler, ancien officier du contre-terrorisme britannique (MI5), ainsi que par le lieutenant-colonel Stephen Butler, membre de l’US Air Force durant 24 ans : "Of course Bush knew about the impending attacks on America. He did nothing to warn the American people because he needed this war on terrorism" (New York Times du 4 juin 2002).


    Complicités américaines ?


    Certains envisagent même la complicité des autorités américaines avec Ben Laden. L’argument le plus volontiers mis en avant, c’est que Ben Laden n’aurait pas pu organiser - et surtout réussir - seul ces attentats. C’est l’opinion de Robert Baer, agent de la CIA durant 21 ans, spécialiste du Moyen-Orient, qui, dans une interview du 9 juin 2006, considère que l’idée d’un complot intérieur ("inside job") est tout à fait plausible. William Christison, membre de la CIA pendant 28 ans, se range aussi à cette idée.


    D’autres voix, politiques, s’élèvent depuis cinq ans du monde entier, qui, sans accuser le gouvernement américain, refusent de penser que Ben Laden est le seul et même le principal responsable des attentats du 11 septembre. Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre des Affaires étrangères égyptien, affirmait ainsi le 10 octobre 2001, dans le Guardian, qu’Al-Qaida n’était pas en capacité de mettre en place une telle opération et de la garder secrète, rappelant que Ben Laden était sous surveillance depuis des années, et que son organisation était même infiltrée par les services secrets américains, pakistanais, saoudiens et égyptiens.


    Andreas von Bülow, ancien secrétaire d’Etat (à la Défense) et ministre allemand, Horst Ehmke, ancien ministre de la Justice ouest-allemand, ou encore le général Leonid Ivashov, chef de cabinet des forces armées russes au moment des attentats, sont persuadés que des services secrets ont appuyé les opérations du 11 septembre. Quant à l’ancien Président de la République italienne, Francesco Cossiga, il soupçonnait, peu après les attentats, dans La Stampa, des complicités à l’intérieur du système de sécurité américain (page 36 de ce document).


    Un fol espoir


    Les témoignages recensés dans cet article ne constituent qu’une infime partie de tous ceux que regroupe le site Patriots Question 9/11. La liste des experts contestataires de l’histoire officielle du 11-Septembre s’allonge régulièrement, elle est en expansion continue.


    Rien ne prouve, à ce jour, un laisser-faire ou une complicité des autorités américaines. C’est entendu. Mais il est tout aussi entendu que la Commission n’a pas su atteindre son but. Son vice-président en personne nous promet même encore près d’un siècle de recherche avant d’aboutir - peut-être - à la vérité ! L’esprit critique quant à l’histoire officielle actuelle - reconnue non véridique par ceux-là mêmes qui l’ont faite, rappelons-le, rabâchons-le ! - est donc une attitude qui devrait être qualifiée de normale. Au lieu de cela, elle est jugée déviante, malsaine par la plupart de nos politiques et journalistes. Elle est diabolisée.


    Une enquête réellement indépendante doit être ouverte, qui aura les moyens de ses ambitions. Sans doute les médias ont-ils un rôle à jouer pour faire pression sur les dirigeants de ce monde, qui auront à prendre cette lourde décision. Peut-être les citoyens doivent-ils alors commencer par faire pression sur les médias, en les sommant de retrouver leur vocation : la recherche de la vérité et sa diffusion. La passion des faits, rien que des faits.

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=21321
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    Message par Invité Ven 13 Avr - 19:05

    a voir la video temoignage de william rodriguez , dernier a avoir ete sorti vivant des decombres du WTC , il confirme que sans aucun doute des explosions st survenues du sous sol ...

    a voir , 50 mn ...

    http://reopen911.info/
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    Message par Invité Lun 16 Avr - 22:52

    La DGSE aurait été informée début 2001 des projets d'Al Qaïda


    agrandir la photo
    PARIS (Reuters) - Les services de renseignement français étaient informés des projets de détournement d'avions d'Al Qaïda dès janvier 2001, écrit le journal Le Monde dans son édition datée du 17 avril.

    Sur la foi de dizaines de documents de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), dont il publie des extraits, le quotidien ajoute que les réseaux d'Oussama ben Laden étaient infiltrés depuis plusieurs années.

    Il affirme avoir eu confirmation de l'authenticité de ces documents, au total 328 pages rédigées entre juillet 2000 et octobre 2001, lors d'une entrevue au siège de la DGSE, où un responsable aurait déploré une telle fuite.

    Il en ressort que les services français ont rédigé neuf rapports sur les menaces d'Al Qaïda contre les Etats-Unis avant les attaques suicides de New York et de Washington du 11 septembre 2001.

    Huit mois auparavant, une note de synthèse du 5 janvier évoque ainsi, sur la base d'informations transmises par des espions ouzbeks, un projet de détournement d'avion par des islamistes radicaux.

    "Provisoirement, les djihadistes privilégient la capture d'un avion entre Francfort et les Etats-Unis", écrit le quotidien, précisant qu'à la suite "de désaccords entre terroristes" sur les modalités pratiques, le projet aurait été réorienté vers la Grèce et Chypre.

    Néanmoins, la DGSE estime que la volonté d'Al Qaïda de concrétiser cette action contre un appareil américain ne fait aucun doute. "Au mois d'octobre 2000, Oussama ben Laden a assisté à une réunion en Afghanistan au cours de laquelle la décision de principe de mener cette opération a été maintenue", précise le document.

    Le Monde souligne que cette note à été transmise à la CIA, notamment à son représentant à Paris, Bill Murray, par le service des relations extérieures de la DGSE.

    A Washington, la commission d'enquête du Congrès sur les attentats du 11 septembre a mis l'accent dans son rapport final publié en juillet 2004 sur l'incapacité des services américains d'agréger des données éparses visant certains membres des commandos.

    Le Monde insiste sur le fait que la DGSE connaissait très tôt, et avec minutie, le fonctionnement d'Al Qaïda et les déplacements de proches d'Oussama ben Laden.

    Pour le quotidien, la formulation de certains documents montre que la DGSE ne se contentait pas d'échanges avec des services secrets amis pour disposer de tels éléments, notamment sur les camps de formation de l'organisation.

    "Pour percer les secrets des camps, d'une part elle manipule et 'retourne' des jeunes candidats au djihad originaires des banlieues des grandes villes d'Europe. D'autre part, elle envoie des hommes du service action auprès de l'Alliance du Nord du commandant Massoud", précise-t-il.
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    Message par Frantz Lun 16 Avr - 23:29

    comme quoi, on n'a pas fini d'en apprendre sur le sujet !
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    Message par Invité Mar 17 Avr - 12:39

    c clair , en tt cas je vs conseille de matter la video du temoin des decombres william rodriguez...le lien est au dessus
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    Message par Invité Mer 25 Avr - 12:35

    9/11 : Victor Gold met en doute la version gouvernementale


    Après Morgan Reynolds, c’est au tour d’un autre proche et conseiller de la famille Bush de passer aux aveux et de reprendre à son compte les analyses de Thierry Meyssan.

    Victor Gold, journaliste républicain de renom, émet de sérieux doutes quant à la thèse gouvernementale des attentats du 11 septembre 2001.

    L’homme, âgé de 78 ans, fût l’un des rédacteurs des discours des présidents Gerald Ford et Georges H. Bush, le rédacteur de l’autobiographie de ce dernier Looking Forward, ainsi que le co-auteur d’un autre ouvrage avec Lynne Cheney (l’épouse du vice-président) The Body Politic. Il affirme dans son dernier livre, Invasion of the party snatchers : How the Neo-Cons and Holy Rollers Destroyed the GOP, que les néo-conservateurs voulaient saisir l’opportunité d’une provocation fabriquée de toutes pièces pour partir en guerre, de la même façon que Lyndon B. Johnson organisa l’incident du Golfe de Tonkin en 1965 pour justifier la guerre contre le Vietnam.

    Selon lui, l’administration Bush « a mis en scène a false flag operation (attaque imputée faussement à l’ennemi) » : « les attentats du World Trade Center et du Pentagone étaient un coup mené de l’intérieur » dans le but de justifier des guerres préparées de longue date contre l’Afghanistan et l’Irak.
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    Message par Invité Mar 11 Sep - 15:17

    et ouiiii

    il y a 6 ans , le 11 septembre , on s en souvient tous !

    a la télé , des images spectaculaires et effroyables tournaient en boucle sur nos ecrans ...

    et depuis ? afghanistan , iraq , petrole , dollars ,bush re-elu, des dizaines de milliers de morts iraquiens , afghans , americains , des pays a feu et a sang ...

    les coupables court toujours ...

    en attendant on attend toujours que les autorités americaines nous montrent les videos autour du pentagone (autoroute , hotel sheraton etc) qui evidemment ont ete confisquées , egalement quils ns expliquent pourquoi l armee de l air n est pas intervenue plus tot pr l avion qui s est ecrasé en rase campagne et egalement comment de simples pov types avec qques heures de vol ds les jambes ont pu realiser des manoeuvres aussi precises voire impossibles (dixit des pilotes professionels , par exemple de chez air france) ... et sans oublié bien sur , pourquoi les 2 tours se st effondrées aussi rapidemment , d une maniere parfaite en moins de de 10 secondes, alors que c est loin d etre la premiere fois qu un immeuble brule ...

    bref , l ombre n a tjrs pas ete faites sur ce qui est selon moi du terrorisme d etat pur et dur ...
    brice
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    Message par brice Mar 11 Sep - 18:32

    Je crois effectivement que la vérité est tout sauf celle qu'on nous a servi. Je n'irais pas jusqu'à parler de terrorisme d'état, quoique ....
    Quand je vois comment l'état américain a géré le cyclone Katrina à la Nouvelle Orléans, j'avoue que je me pose des questions ...
    Au fait, avez-vous vu la 1ere partie du reportage "Katrina" sur canal + ?
    Edifiant !!!!
    tof
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    Message par tof Mar 11 Sep - 20:00

    il existe effectivement de nombreuses zones d'ombre mais en tant que spécialiste du 11 septembre (gros brice...) je crois que la thèse du comlplot , si elle existe, ne sera jamais vérifiée...
    brice
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    Message par brice Mar 11 Sep - 21:26

    Monsieur Gilloz !

    Votre avatar est purement scandaleux à l'heure de la rentrée où nos vacances sont déja bien lointaines !
    C'est une honte !
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    Message par Invité Mar 11 Sep - 21:42

    pr ma part apres m etre documenter tres longuement , je n affirme pas que l administration est derriere tt cela (meme si je les en soupconne tres fortement) mais qd on voit les consequences du 11 /09 en terme de petro dollars et la facon dont a ete menee l enquete , je ne px m empecher de douter ... maintenant si on apportait toutes les preuves pr ns montrer que la version officielle est reellement ce qui s est passé , pourquoi ne le font ils pas ?

    il n y a qu a regarder les qques reportages d une heure et demie chacuns dont je vous ai parler precedemment , et la ca saute encore plus aux yeux ...

    personnellement , et ce n est que mon pt de vue , je n hesite pas a parler de terrorisme d etat de la part des etats unis eux meme , il n y a qu a regarder le passé pr s apercevoir que les dirigeants americains ont fait bien pire que cela et pr des enjeux moins importants . Exemple (gros relou Very Happy ) , du temps de Norreaga et la crise du Panama , les americains ont bombarder les quartiers pauvres et de par ce fait tuer plus de 5000 civils ...

    alors ???? tuer 3000 de ses compatriotes pr des enjeux enormes tels que le petrole serait il vraiment inconcevables ? surtt qd on sait que de bush en passant par Condolezza Rice jusqua dick cheney , tous ont des interets financiers ds le petrole ...

    moi , plus rien ne m etonne venant de ses gens la ....

    et puis , finalement cette affaire la , c est comme l assassinat de kennedy , n importe quelle personne qui s est un temps soit peu interressé a cette affaire sait que cela a ete organiser de mains de maitre par Lyndon Johnson le vice president de kennedy a l epoque et les services de la maison blanche, pr des histoires de guerre du vietnam , que l un voulait arretter et l autre non , evidemment il y en a un qui avait le support du complexe militaro-industrielle , on a vu ce que cela lui en a couter ...

    et pourquoi est il inconcevable que des choses comme l affaire kennedy ou le 11 septembre soit reellement mises au grd jour ? c est pr moi tres simple , cela donnerait lieu a une guerre civile aux USA ...
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    Message par Invité Sam 17 Nov - 20:24

    9/11 le remake...

    Des édifices qui tombent tout seuls, des avions qui disparaissent, des morts qui réapparaissent... Quel scénario ! Tout le monde a une théorie du complot pour l’affaire du World Trade Center de New York. Ceci est ma version d’un remake. Pure fiction, bien sûr, autrement j’irais me cacher en Amérique centrale. Il n’y a aucune raison pour que cette historiette soit vraie, mais aucune pour qu’elle soit fausse. C’est ce que Einstein appelait "a thought experiment". Une "expérience pensée"...

    1. Depuis le début des années 80, un certain Osama Bin Laden est en contact avec la CIA, mais sa famille a des contacts privilégiés directs avec la famille Bush. Ils font du fric ensemble dans le pétrole. Osama porte trois chapeaux. Premier chapeau, il est milliardaire et il fait des affaires. Deuxième chapeau, il est agent de la CIA pour le financement de l’opération qui consiste à envoyer en Afghanistan tous les islamistes fanatiques du monde, pour y lutter contre les Russes. Troisième chapeau, il fait partie du Saint des Saints des multimilliardaires saoudiens qui contrôlent non seulement l’Arabie Saoudite, mais ont infiltré le Pakistan et ont leur propre vision d’un nouvel ordre mondial : islamiste.

    2. Osama, financé par la CIA d’une part, mais par les Saoudiens d’autre part, a dans sa mouvance une panoplie de toqués qui sont payés pour planifier des centaines de complots. Ils ne les exécutent pas, bien sûr, mais ils ont le fric pour les préparer. Faire exploser le Kremlin, assassiner le pape, empoisonner les aqueducs de Beijing, lancer des avions sur le WTC... Ça les tient occupés : douces vésanies.

    3. Cheney, Wolfovitz, Rumsfeld et toute leur cohorte de suprématistes américanistes pérorent et se content des histoires, dont l’une passe par un attentat spectaculaire contre les USA qui réveillerait la fibre nationaliste des Américains et leur redonnerait le goût de prendre charge du monde, avant que Jésus ne revienne le faire.

    4. Au 19e trou d’une partie de golf, un grand ponte de Halliburton laisse tomber à Cheney qu’il y aurait 100 milliards à faire vite, dans un guerre n’importe où, et Cheney, entre deux martinis, dit qu’il verra ce que l’on peut faire.

    5. Cheney explique a Bush qu’il faut VRAIMENT sauver le monde et Bush répond qu’on le fera à la première occasion, mais qu’il ne voit vraiment pas comment...

    6. Un agent de Osama, très près de Bush et qui écoute tout, passe le message aux Saoudiens que ces chiens de chrétiens cherchent un os à ronger et les instructions de Riyadh sont qu’on pourrait reprendre cette vielle affaire de mettre le WTC par terre, vu qu’un type bien qui a une option sur l’achat des tours est toujours prêt à avancer les frais de l’opération... et à donner 20% de ce qu’on toucherait des assurances, ce qui fait tout de même un petit milliard.

    7. Osama demande à Cheney - entre deux Logavulin 16 ans bien tièdes - comment les USA réagiraient si un attentat significatif avait lieu aux USA, qui permettrait d’envahir l’Irak et de réchauffer un peu l’ardeur des Américains, en ne refroidissant que quelques mauvais sujets, dont Saddam qui se pète la gueule depuis 10 ans qu’on l’a doublé dans cette affaire du Koweit. Un attentat ? Cheney, qui n’y croit pas une minute - et qui de toute façon n’écoute pas - répond que ce serait "a mighty good idea".

    8. Les Saoudiens parlent avec l’acheteur des tours, qui lui écoute très bien et allonge un million à Osama pour l’argent de poche. Osama refile le million de dollars et une bénédiction à l’un de ses sous-fifres, le leader du groupe de toqués numéro 13, le leader de ceux qui, depuis 5 ans, rêvent de faire tomber les tours. Ceux qui travaillaient sur le Lincoln Tunnel, le Golden Gate et l’enlèvement du fils d’Eisenhower sont déçus, mais on ne peut pas tout faire.

    9. Avec le fric en poche et quelques laissez-passer obtenus par Cheney - qui ne sait pas trop de quoi il s’agit, mais qui s’en fiche - de vrais pros, payés par les Saoudiens, mettent en place les explosifs dissimulés. Tout ce qu’il faut pour que les trois tours tombent. Un travail propre.

    10. Le matin du 11, Osama explique à Cheney - entre deux Remy Martin Louis XIII - que c’est pour aujourd’hui. Réponse de Cheney, qui ne se souvient plus du tout de quoi que ce soit : "What do you mean ?" Explications, affolement, il est trop tard pour reculer.

    11. Cheney à Bush, 20 minutes plus tard : "Something BIG, but don’t worry". Rien à faire, seulement laisser faire. Garder la chasse au sol. On verra après...

    12. Bush - qui a un programme chargé ce matin-là et n’a pas très bien saisi - apprend la nouvelle dans une école. Son visage prend cet aspect de profonde incrédulité, parfois éclairé d’un éclair de compréhension confuse, que nous avons tous vu à la TV et qui passera à l’Histoire.

    13. Tout le reste se passe "bien", sauf un avion qui se perd en route. Le #7 du WTC - 47 étages - tombe donc tout seul, sans que rien ne l’ait frappé, quand les explosions programmées se déclenchent... Gênant... mais, bof, on trouvera bien une explication.

    14. Il y a aussi les pros qui ont mis les explosifs et que la police surprend, en train de surveiller les tours avec des jumelles, au moment du premier impact. Curieusement, ils se tapent dans les mains et ont l’air ravi. Evidemment, si on savait le bonus à la performance qu’ils viennent de se mériter, on ne verrait là rien de curieux !

    15. Le lendemain, exit subito toute la famille Bin Laden des USA. Juste au cas où l’un ou l’autre saurait quelque chose et dirait quoi que ce soit dont on pourrait tirer un indice... Ils ne sont pas tous très astucieux.

    Je cède mes droits sur cette ébauche de scénario à quiconque veut s’en servir, en considération de six bouteilles de Romanée-Conti 1990, livrables le soir du lancement du film...

    Toute ressemblance de cette fiction avec la réalité serait naturellement due au hasard.

    Pierre JC Allard

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