les infiltrés c'est bien, malgré une fin qui pour moi n'est pas la hauteur du scénario global
Rechercher
Derniers sujets
+9
Karine
LES BAGOE DANIEL
Oh Cathy Cathy
rene
daniel lily
Tiffany
Frantz
tof
brice
13 participants
Musique/Film/Bouquin
Invité- Invité
- Message n°51
Re: Musique/Film/Bouquin
et pourtant Babel a eu une recompense très dernièrement ....je pensai que c'etait bien...j'avai hésité à le voir au ciné mais finalement on avait choisi "déjà vu" avec Denzel Washingtown qui est un film très moyen..
les infiltrés c'est bien, malgré une fin qui pour moi n'est pas la hauteur du scénario global
les infiltrés c'est bien, malgré une fin qui pour moi n'est pas la hauteur du scénario global
Invité- Invité
- Message n°52
Re: Musique/Film/Bouquin
Merci je l'ai pas encore vu et j'ai mis vla le temps a le télécharger...![Sad](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_sad.gif)
![Sad](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_sad.gif)
Invité- Invité
- Message n°53
Re: Musique/Film/Bouquin
le film que j aimerais vraiment voir , c est Apocalypto !!!
qqun l a vu ?
qqun l a vu ?
Invité- Invité
- Message n°54
Re: Musique/Film/Bouquin
Apocalypto : il était une fois la peur
Porté au rang de quasi-chef-d’oeuvre par certains, rabaissé à celui de navet par d’autres qui s’acharnent manifestement sur son réalisateur controversé, le dernier film de Mel Gibson, Apocalypto, fait l’événement. Il nous ramène dans l’Amérique centrale du XVIe siècle, au crépuscule de la civilisation maya, peu avant la conquête espagnole.
Une tribu de chasseurs, locataires harmonieux d’une forêt aussi luxuriante que mystérieuse, est victime d’une terrible attaque portée par des guerriers mayas. Après la destruction de leur village et le meurtre d’une partie d’entre eux, les habitants sont faits prisonniers, ligotés par le cou à une longue tige de bois qui les relie tous. Ils partent alors pour un long et périlleux périple à travers la jungle, jusqu’à la cité de pierres de ces Mayas.
Le contraste entre les deux civilisations - celle, paisible, sage et rieuse des chasseurs de la forêt, et celle, grouillante d’agitation, inégalitaire, hyperreligieuse et pleine d’excès, en un mot décadente, des puissants Mayas - est saisissant. L’arrivée des humbles chasseurs enchaînés dans la cité maya débridée est le point culminant du film. Leur longue route de souffrance dans la jungle est comme une Passion pour ces hommes, arrachés à leur village, à leur forêt, à leur élément, ligotés non pas à une Croix, mais à une longue tige qui les étrangle, et tout se finit pour eux comme pour le Christ, sur le Calvaire, la colline du supplice, ici un temple-pyramide, au sommet duquel ils vont être sacrifiés aux dieux et à la liesse populaire.
Des coeurs sous le soleil
C’est sans doute là la scène la plus marquante du film de Gibson. Celle des sacrifices humains, des arrachages de coeurs encore battants. Sous l’oeil du roi et de sa famille, vêtus des parures les plus somptueuses, les prisonniers, un par un, sont portés sur un autel, où un grand prêtre, armé d’un poignard, leur ouvre la poitrine pour en extraire le coeur encore vivant, et l’offrir aux dieux assoiffés de sang. Avant de les décapiter et d’envoyer rouler leurs têtes et leurs corps sur les marches du temple, jusqu’en bas, jusqu’au peuple rassemblé là, qui hurle sa joie et sa reconnaissance.
Le carnage est interrompu par une éclipse solaire, interprétée comme une intervention divine, le signe que les dieux sont satisfaits et repus. Le héros du film - car il y a un héros - est ainsi épargné. Les survivants du cruel rituel servent alors d’objets pour un jeu macabre. On leur ordonne de courir vers un champ de maïs, au-delà duquel se trouve leur forêt. Mais une fois entamée leur course vers la libération, ils servent de cibles aux guerriers mayas, qui les visent de leurs flèches et de leurs lances. Un guerrier est même placé à l’orée du champ pour achever les prisonniers transpercés. Mais le héros parvient, lui, à s’échapper. S’entame alors une course-poursuite mémorable dans la jungle verte.
Une forêt nommée Renaissance
Patte de Jaguar, c’est son nom, court à en perdre haleine, dans le but de retrouver sa jeune femme enceinte et son petit garçon, qui se sont réfugiés au fond d’un puits, pendant l’attaque de leur village. On verse alors bien davantage dans le film d’action que dans la fresque historique et le réalisme le plus strict. Mais qui a prétendu que nous avions affaire à un documentaire ? Nous sommes bel et bien au cinéma. Tandis que la jeune compagne de Patte de Jaguar donne la vie à son second enfant au fond du puits, alors que celui-ci est en train de se remplir dangereusement d’une eau de pluie abondante, son valeureux mari élimine un à un ses terribles poursuivants.
Patte de Jaguar conservera donc, contrairement à ses pauvres compagnons, son coeur bien accroché au fond de sa poitrine, et retrouvera, saine et sauve, sa petite famille. A la fin de cette course-poursuite endiablée, alors qu’un calme trompeur est revenu, on voit débarquer, sur la plage, derrière la forêt, les Européens, sortis de leurs caravelles, et armés pour le moment de leurs seuls crucifix. Après l’extermination du peuple des forêts par les Mayas, on pressent déjà celle des Mayas par les conquistadores... Patte de Jaguar voit arriver ces hommes blancs, se demande un instant s’il doit aller à leur rencontre, et décide finalement de s’en retourner dans sa forêt, tenter de recommencer sa vie à zéro.
Apocalypto fait indiscutablement partie de ces films qui laissent une empreinte en vous. Qui, sans prétendre au statut de chef-d’oeuvre, peuvent être considérés comme des grands films. Les rares critiques qui parlent de "navet" ont des comptes à régler avec l’homme Gibson, qu’ils détestent, mais ne peuvent pas, honnêtement, qualifier ainsi son film. Tourné dans un cadre majestueux, dans la langue yucatèque, par souci d’authenticité, avec des acteurs tous illustres inconnus, mais néanmoins merveilleux, ce film est habité d’un souffle qui donne au cinéma une grandeur pas si commune.
Le retour du refoulé
L’un des principaux reproches qu’on lui fait, c’est une prétendue complaisance dans la violence, dans l’horreur. Il est vrai que nombre de scènes sont dures, à la limite du soutenable. Il eût été possible de nous les épargner. Mais précisément, n’est-ce pas là l’un des principaux mérites de ce film ? Nous faire subir une violence terrible, à laquelle nous ne sommes plus habitués aujourd’hui, en particulier en Occident, mais qui était le lot commun de nos ancêtres durant des millénaires, une violence qui a fait la vie des hommes partout sur la planète jusqu’à très récemment ? Nous faisons partie, nous l’oublions peut-être, des premières générations qui peuvent envisager de passer leur vie entière sans avoir recours à la violence physique, au meurtre, d’hommes ou d’animaux.
Tuer de ses mains des animaux pour manger a constitué le quotidien des hommes durant des millénaires - comme nous le rappelle la scène de chasse inaugurale du film, assez crue ; ces combats dangereux, ces corps à corps avec nos proies, ce rapport à leur chair, à leur sang, cette nécessité de les mettre à mort, avec un poignard ou une lance, nous avons oublié tout cela, nous nous en sommes débarrassés, laissant ces activités vitales à quelques professionnels pas toujours bien vus ; nous avons déréalisé la violence, elle nous est devenue abstraite, nous avons oublié sa nécessité, nous avons oublié que notre survie passait par le meurtre d’autres créatures, nous, hommes modernes, allant à la chasse dans des supermarchés, confrontés à des plats cuisinés, à des produits, à des marques, à des pubs, à des couleurs, voulant oublier la violence et la mort dans notre assiette.
Même oubli de la violence entre les hommes, de ces guerres permanentes qui ont fait l’Histoire depuis toujours. Combats aux armes blanches, où une lame devait pénétrer dans un corps pour le détruire, et pas combats à distance, au pistolet, au canon, ou aux missiles, comme ils le sont depuis si peu de temps. Ce film nous rappelle que la violence est toujours là, qu’on n’y échappe pas, mais qu’on l’a oubliée, au moins dans les coins de ce monde qui peuvent se permettre cet oubli. Et c’est pour cela que ce film peut nous gêner.
Leçons élémentaires
Mais le grand thème d’Apocalypto, c’est la vie et la mort des civilisations. C’est le darwinisme appliqué aux civilisations. Les petits se font manger par les gros. Et ceux qui se croient les plus gros (ici, les Mayas) finissent par trouver encore plus gros qu’eux (les Espagnols). Les civilisations qui paraissent les plus éternelles, les plus hégémoniques, sont, elles aussi, mortelles, et vivent, jusqu’au dernier moment, dans l’inconscience des dangers qui les feront périr. Il n’y a rien à y faire. C’est une loi de la nature.
Et le pressentiment de la fin crée la peur, l’acteur central d’Apocalypto au final. La peur contre laquelle il faut résister. La peur qui est le vrai ennemi. Celui qui entraîne la chute d’une culture, son asservissement et sa perte. Celui, surtout, qui trouble le coeur de l’homme, qui lui fait perdre sa dignité. "Ne te laisse jamais envahir par la peur, ne la laisse jamais triompher en toi". Telle est la leçon qu’inculque sereinement le père de Patte de Jaguar à son fils, alors même qu’il s’apprête à mourir, exécuté, égorgé par un guerrier maya. Ne pas avoir peur. Demeurer son propre maître. Sagesse des chasseurs de la forêt, sagesse éternelle, que l’on retrouve aussi chez les Grecs. Elle n’empêche pas de disparaître. Mais elle permet de garder intact le coeur de l’homme.
Porté au rang de quasi-chef-d’oeuvre par certains, rabaissé à celui de navet par d’autres qui s’acharnent manifestement sur son réalisateur controversé, le dernier film de Mel Gibson, Apocalypto, fait l’événement. Il nous ramène dans l’Amérique centrale du XVIe siècle, au crépuscule de la civilisation maya, peu avant la conquête espagnole.
Une tribu de chasseurs, locataires harmonieux d’une forêt aussi luxuriante que mystérieuse, est victime d’une terrible attaque portée par des guerriers mayas. Après la destruction de leur village et le meurtre d’une partie d’entre eux, les habitants sont faits prisonniers, ligotés par le cou à une longue tige de bois qui les relie tous. Ils partent alors pour un long et périlleux périple à travers la jungle, jusqu’à la cité de pierres de ces Mayas.
Le contraste entre les deux civilisations - celle, paisible, sage et rieuse des chasseurs de la forêt, et celle, grouillante d’agitation, inégalitaire, hyperreligieuse et pleine d’excès, en un mot décadente, des puissants Mayas - est saisissant. L’arrivée des humbles chasseurs enchaînés dans la cité maya débridée est le point culminant du film. Leur longue route de souffrance dans la jungle est comme une Passion pour ces hommes, arrachés à leur village, à leur forêt, à leur élément, ligotés non pas à une Croix, mais à une longue tige qui les étrangle, et tout se finit pour eux comme pour le Christ, sur le Calvaire, la colline du supplice, ici un temple-pyramide, au sommet duquel ils vont être sacrifiés aux dieux et à la liesse populaire.
Des coeurs sous le soleil
C’est sans doute là la scène la plus marquante du film de Gibson. Celle des sacrifices humains, des arrachages de coeurs encore battants. Sous l’oeil du roi et de sa famille, vêtus des parures les plus somptueuses, les prisonniers, un par un, sont portés sur un autel, où un grand prêtre, armé d’un poignard, leur ouvre la poitrine pour en extraire le coeur encore vivant, et l’offrir aux dieux assoiffés de sang. Avant de les décapiter et d’envoyer rouler leurs têtes et leurs corps sur les marches du temple, jusqu’en bas, jusqu’au peuple rassemblé là, qui hurle sa joie et sa reconnaissance.
Le carnage est interrompu par une éclipse solaire, interprétée comme une intervention divine, le signe que les dieux sont satisfaits et repus. Le héros du film - car il y a un héros - est ainsi épargné. Les survivants du cruel rituel servent alors d’objets pour un jeu macabre. On leur ordonne de courir vers un champ de maïs, au-delà duquel se trouve leur forêt. Mais une fois entamée leur course vers la libération, ils servent de cibles aux guerriers mayas, qui les visent de leurs flèches et de leurs lances. Un guerrier est même placé à l’orée du champ pour achever les prisonniers transpercés. Mais le héros parvient, lui, à s’échapper. S’entame alors une course-poursuite mémorable dans la jungle verte.
Une forêt nommée Renaissance
Patte de Jaguar, c’est son nom, court à en perdre haleine, dans le but de retrouver sa jeune femme enceinte et son petit garçon, qui se sont réfugiés au fond d’un puits, pendant l’attaque de leur village. On verse alors bien davantage dans le film d’action que dans la fresque historique et le réalisme le plus strict. Mais qui a prétendu que nous avions affaire à un documentaire ? Nous sommes bel et bien au cinéma. Tandis que la jeune compagne de Patte de Jaguar donne la vie à son second enfant au fond du puits, alors que celui-ci est en train de se remplir dangereusement d’une eau de pluie abondante, son valeureux mari élimine un à un ses terribles poursuivants.
Patte de Jaguar conservera donc, contrairement à ses pauvres compagnons, son coeur bien accroché au fond de sa poitrine, et retrouvera, saine et sauve, sa petite famille. A la fin de cette course-poursuite endiablée, alors qu’un calme trompeur est revenu, on voit débarquer, sur la plage, derrière la forêt, les Européens, sortis de leurs caravelles, et armés pour le moment de leurs seuls crucifix. Après l’extermination du peuple des forêts par les Mayas, on pressent déjà celle des Mayas par les conquistadores... Patte de Jaguar voit arriver ces hommes blancs, se demande un instant s’il doit aller à leur rencontre, et décide finalement de s’en retourner dans sa forêt, tenter de recommencer sa vie à zéro.
Apocalypto fait indiscutablement partie de ces films qui laissent une empreinte en vous. Qui, sans prétendre au statut de chef-d’oeuvre, peuvent être considérés comme des grands films. Les rares critiques qui parlent de "navet" ont des comptes à régler avec l’homme Gibson, qu’ils détestent, mais ne peuvent pas, honnêtement, qualifier ainsi son film. Tourné dans un cadre majestueux, dans la langue yucatèque, par souci d’authenticité, avec des acteurs tous illustres inconnus, mais néanmoins merveilleux, ce film est habité d’un souffle qui donne au cinéma une grandeur pas si commune.
Le retour du refoulé
L’un des principaux reproches qu’on lui fait, c’est une prétendue complaisance dans la violence, dans l’horreur. Il est vrai que nombre de scènes sont dures, à la limite du soutenable. Il eût été possible de nous les épargner. Mais précisément, n’est-ce pas là l’un des principaux mérites de ce film ? Nous faire subir une violence terrible, à laquelle nous ne sommes plus habitués aujourd’hui, en particulier en Occident, mais qui était le lot commun de nos ancêtres durant des millénaires, une violence qui a fait la vie des hommes partout sur la planète jusqu’à très récemment ? Nous faisons partie, nous l’oublions peut-être, des premières générations qui peuvent envisager de passer leur vie entière sans avoir recours à la violence physique, au meurtre, d’hommes ou d’animaux.
Tuer de ses mains des animaux pour manger a constitué le quotidien des hommes durant des millénaires - comme nous le rappelle la scène de chasse inaugurale du film, assez crue ; ces combats dangereux, ces corps à corps avec nos proies, ce rapport à leur chair, à leur sang, cette nécessité de les mettre à mort, avec un poignard ou une lance, nous avons oublié tout cela, nous nous en sommes débarrassés, laissant ces activités vitales à quelques professionnels pas toujours bien vus ; nous avons déréalisé la violence, elle nous est devenue abstraite, nous avons oublié sa nécessité, nous avons oublié que notre survie passait par le meurtre d’autres créatures, nous, hommes modernes, allant à la chasse dans des supermarchés, confrontés à des plats cuisinés, à des produits, à des marques, à des pubs, à des couleurs, voulant oublier la violence et la mort dans notre assiette.
Même oubli de la violence entre les hommes, de ces guerres permanentes qui ont fait l’Histoire depuis toujours. Combats aux armes blanches, où une lame devait pénétrer dans un corps pour le détruire, et pas combats à distance, au pistolet, au canon, ou aux missiles, comme ils le sont depuis si peu de temps. Ce film nous rappelle que la violence est toujours là, qu’on n’y échappe pas, mais qu’on l’a oubliée, au moins dans les coins de ce monde qui peuvent se permettre cet oubli. Et c’est pour cela que ce film peut nous gêner.
Leçons élémentaires
Mais le grand thème d’Apocalypto, c’est la vie et la mort des civilisations. C’est le darwinisme appliqué aux civilisations. Les petits se font manger par les gros. Et ceux qui se croient les plus gros (ici, les Mayas) finissent par trouver encore plus gros qu’eux (les Espagnols). Les civilisations qui paraissent les plus éternelles, les plus hégémoniques, sont, elles aussi, mortelles, et vivent, jusqu’au dernier moment, dans l’inconscience des dangers qui les feront périr. Il n’y a rien à y faire. C’est une loi de la nature.
Et le pressentiment de la fin crée la peur, l’acteur central d’Apocalypto au final. La peur contre laquelle il faut résister. La peur qui est le vrai ennemi. Celui qui entraîne la chute d’une culture, son asservissement et sa perte. Celui, surtout, qui trouble le coeur de l’homme, qui lui fait perdre sa dignité. "Ne te laisse jamais envahir par la peur, ne la laisse jamais triompher en toi". Telle est la leçon qu’inculque sereinement le père de Patte de Jaguar à son fils, alors même qu’il s’apprête à mourir, exécuté, égorgé par un guerrier maya. Ne pas avoir peur. Demeurer son propre maître. Sagesse des chasseurs de la forêt, sagesse éternelle, que l’on retrouve aussi chez les Grecs. Elle n’empêche pas de disparaître. Mais elle permet de garder intact le coeur de l’homme.
daniel lily- Nombre de messages : 767
Age : 78
Localisation : Narbonne
Réputation : 3
Points : 626
Date d'inscription : 01/01/2007
- Message n°55
Re: Musique/Film/Bouquin
Pour ceux qui ne l'ont pas vu , je leur conseille LES INFILTRES .genial!!!!!!!
Invité- Invité
- Message n°56
Re: Musique/Film/Bouquin
Allez voir le serpent avec Clovis Cornillac , vous ne regretterez pas votre place . Cornillac dans un rôle inattendu.
C'est vraiment une merveille
![Shocked](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_eek.gif)
C'est vraiment une merveille
![Shocked](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_eek.gif)
![Shocked](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_eek.gif)
![Shocked](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_eek.gif)
Invité- Invité
- Message n°57
Re: Musique/Film/Bouquin
ah le ciné! en un peu moins récent, j'ai été très ému par "le temps qui reste" film de f.ozon- un jeune homme apprend qu'il lui reste quelques mois à vivre-; tenu en haleine par"match-point" (polard de w.allen)-un jeune bien sous tous rapports devient un arriviste-; séduit par trois enterrements de T.L.Jones sur la promesse faite à un ami. Dans un autre genre Lady Chatterley se laisse voir avec délices. Bref aimer la vie c'est aimé le ciné.
y at-il des footeux qui ont vu rendez-vous le 9 juillet?
y at-il des footeux qui ont vu rendez-vous le 9 juillet?
daniel lily- Nombre de messages : 767
Age : 78
Localisation : Narbonne
Réputation : 3
Points : 626
Date d'inscription : 01/01/2007
- Message n°58
Re: Musique/Film/Bouquin
Le temps qui reste est boulversant !!!!Situation qui , helas peut etre vecue par chacun de nous . j'ai envie d'aller voir LE SERPENT car j'adoooooooooore le petit Clovis .C'est LILY qui parle !!!!!!!!
Pour ma part RENDEZ - VOUS LE NEUF JUILLET est formidable !!!!!!!C'est gilloz qui parle !
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
Pour ma part RENDEZ - VOUS LE NEUF JUILLET est formidable !!!!!!!C'est gilloz qui parle !
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
rene- Nombre de messages : 1873
Age : 80
Localisation : neuilly sur marne
Réputation : 21
Points : 2021
Date d'inscription : 27/10/2006
- Message n°59
Musique/Film/Bouquin
J'ai vu rendez-vous le 9 juillet.C'est très bien, après ça on comprend mieux l'état d'esprit des joueurs. C'était intéressant et bien monté. J'ai aimé les commentaires des joueurs.
brice- Nombre de messages : 1600
Age : 52
Localisation : Annet sur Marne
Réputation : 7
Points : 315
Date d'inscription : 23/10/2006
- Message n°60
Re: Musique/Film/Bouquin
C'est vrai que "Rendez-vous un 9 juillet" était bien fait, même si, à mon goût, il manquait cruellement l'intensité des "yeux dans les bleus" de 1998 .... Je note quand même l'absence plus que regrettable de Raymond .....
Par ailleurs je lance un cri du coeur et je dis :
"Rendez-nous le 9 juillet" !!!!!!!
Par ailleurs je lance un cri du coeur et je dis :
"Rendez-nous le 9 juillet" !!!!!!!
Oh Cathy Cathy- Nombre de messages : 888
Age : 54
Localisation : elbeuf
Réputation : 1
Points : 395
Date d'inscription : 24/02/2007
- Message n°61
Re: Musique/Film/Bouquin
Nous, on l'a vu. Il est très bien. Il n'a rien à voir avec les Rocky 2,3,4,5. Il se rapproche du premier.
On a vu également Mi-temps au mitard c'est génial.
Frantz- Nombre de messages : 794
Age : 51
Réputation : 4
Points : 47
Date d'inscription : 29/10/2006
- Message n°62
Re: Musique/Film/Bouquin
je viens de voir "300" et c'est TERRIBLE !!! le casting est excellent, le doublage pas trop dégueux (je vais le revoir en VO histoire de comparer), les images retouchées façon BD mettent une atmosphère bien lugubre et réaliste... évidemment ça reste un film et pas un documentaire sur la bataille des Thermopyles.
Invité- Invité
- Message n°63
Re: Musique/Film/Bouquin
a bah zinc tu parles de "300" je l ai , jai pas encore osé matter car je me demandais ce que c etait que ce truk !!
Sinon cela que je navais pas vu un film aussi bon , c est "Babel" ,encore un tres bon film du realisateur Alejandro González Inárritu , auteur de 21 grammes , qui cette ns plonge ds le "comment habiter aux 4 coins du monde" mais etre lié par un seul et unique lien : la violence . Je recommande vraiment ce film , certainement le meilleur que j ai vu depuis bien longtemps qui sort des clichés et bourrinage hollywoodiens classiques ....
j ai egalement vu the departed "les infiltrés" , c etait pas mal , mais pr un film aux 4 oscars , j avoue que je m attendais a mieux , surtt la fin , tt ca uniquement pr ca ?
The last king of scotland , tres bon film sur le defun dictateur ougandais Idi Amin Dada , encore une fois enorme perf d acteur de Forrest Whitaker , vraiment un film a voir sur la folie africaine d un megalomane parano bien connu qui fut tt de meme 300 000 victimes durant son regime ....
88 minutes , un pti thriller classique avec al pacino , et les ingredients classiques de ce genre de film : serial killer , psychiatre , fbi etc ... a voir , pas mal
Sinon cela que je navais pas vu un film aussi bon , c est "Babel" ,encore un tres bon film du realisateur Alejandro González Inárritu , auteur de 21 grammes , qui cette ns plonge ds le "comment habiter aux 4 coins du monde" mais etre lié par un seul et unique lien : la violence . Je recommande vraiment ce film , certainement le meilleur que j ai vu depuis bien longtemps qui sort des clichés et bourrinage hollywoodiens classiques ....
j ai egalement vu the departed "les infiltrés" , c etait pas mal , mais pr un film aux 4 oscars , j avoue que je m attendais a mieux , surtt la fin , tt ca uniquement pr ca ?
The last king of scotland , tres bon film sur le defun dictateur ougandais Idi Amin Dada , encore une fois enorme perf d acteur de Forrest Whitaker , vraiment un film a voir sur la folie africaine d un megalomane parano bien connu qui fut tt de meme 300 000 victimes durant son regime ....
88 minutes , un pti thriller classique avec al pacino , et les ingredients classiques de ce genre de film : serial killer , psychiatre , fbi etc ... a voir , pas mal
tof- Nombre de messages : 750
Age : 56
Localisation : nogent sur marne
Réputation : 0
Points : 95
Date d'inscription : 28/10/2006
- Message n°64
Re: Musique/Film/Bouquin
Je suis allé voir "je veux pas que tu t'en ailles"...Moyen.
Sinon, j'ai découvert un auteur de thriller: richard montanari.Génial.
Sinon, j'ai découvert un auteur de thriller: richard montanari.Génial.
Frantz- Nombre de messages : 794
Age : 51
Réputation : 4
Points : 47
Date d'inscription : 29/10/2006
- Message n°65
Re: Musique/Film/Bouquin
je viens de voir "je vais bien, ne t'en fais pas", un pur régal avec des acteurs qui déchirent (Kad en l'occurence !) et une bande son...
tof- Nombre de messages : 750
Age : 56
Localisation : nogent sur marne
Réputation : 0
Points : 95
Date d'inscription : 28/10/2006
- Message n°66
Re: Musique/Film/Bouquin
Entièrement d'accord avec toi...
Invité- Invité
- Message n°67
Re: Musique/Film/Bouquin
Bono et Bob Geldof plaident à Berlin pour l'aide à l'Afrique
Les pays du G8 sont loin d'avoir traduit dans les faits les promesses d'aide au développement faites à l'Afrique lors de leur sommet de 2005, ont affirmé mardi les chanteurs irlandais Bono et Bob Geldof, venus à Berlin demander à l'Allemagne de faire un effort en la matière.
La chancelière allemande Angela Merkel, qui préside cette année le G8 et accueillera le prochain sommet en juin, devrait débloquer cette année 700 millions d'euros au minium en faveur de l'Afrique si elle veut remplir les promesses souscrites par son prédecesseur Gerhard Schröder lors du sommet de Gleneagles (Ecosse) en 2005, a affirmé Bob Geldof lors d'une conférence de presse.
"Nous demandons seulement que les responsables politiques exaucent leurs promesses, pas un euro de plus", a précisé le fondateur du projet Live Aid.
De son côté Bono, la star du groupe U2 également très impliqué dans la promotion de l'aide à l'Afrique, a souligné que l'Allemagne avait un rôle particulier à jouer en la matière. "Si vous ne respectez pas vos promesses, les autres (pays du G8) vont quitter le navire", a-t-il affirmé.
"Mme Merkel, nous vous avons à l'oeil!", a lancé pour sa part le chanteur allemand Herbert Grönemeyer, grande star dans son pays, qui prendra part le 7 juin à Rostock (nord-est) à un concert contre la pauvreté organisé en marge du sommet du G8.
Les trois chanteurs participaient à la présentation à la presse du rapport 2007 de l'organisation DATA (Debt, Aids, Trade, Africa), patronnée par Bono, rapport qui se penche notamment sur la manière dont les pays les plus riches ont tenu leurs engagements souscrits à Gleneagles en juillet 2005.
A cette occasion, les sept pays les plus industrialisés, plus la Russie, avaient promis d'annuler la dette publique multilatérale de 35 des pays les plus pauvres et d'augmenter de 25 milliards de dollars d'ici 2010 leur aide aux nations les plus démunies.
Or, selon DATA, seuls le Royaume-Uni et le Japon ont jusqu'à présent rempli leur part de cette promesse. L'ensemble des pays du G8 ont augmenté leur aide au développement de 2,3 milliards de dollars entre 2004 et 2006, mais "c'est moins de la moitié de ce qui aurait dû être fait", a souligné Jamie Drummond, de DATA.
Face à ces mauvaises performances des pays riches, Bono a déclaré qu'il pouvait "comprendre la colère" des milliers de manifestants qui s'apprêtent à converger vers Heiligendamm (nord-est) dans le cadre du contre-sommet du G8, début juin. Si les pays du G8 n'honorent pas leurs promesses, cela ne pourra qu'attiser la colère des activistes, a souligné le chanteur, précisant cependant qu'il était "opposé" à l'usage de la violence dans de telles manifestations.
"Je comprends leur colère, je l'ai ressentie moi-même lorsque je suis allé dans un hôpital (africain) et que j'y ai vu des gens faire la queue pour mourir", a lancé la star.
Les pays du G8 sont loin d'avoir traduit dans les faits les promesses d'aide au développement faites à l'Afrique lors de leur sommet de 2005, ont affirmé mardi les chanteurs irlandais Bono et Bob Geldof, venus à Berlin demander à l'Allemagne de faire un effort en la matière.
La chancelière allemande Angela Merkel, qui préside cette année le G8 et accueillera le prochain sommet en juin, devrait débloquer cette année 700 millions d'euros au minium en faveur de l'Afrique si elle veut remplir les promesses souscrites par son prédecesseur Gerhard Schröder lors du sommet de Gleneagles (Ecosse) en 2005, a affirmé Bob Geldof lors d'une conférence de presse.
"Nous demandons seulement que les responsables politiques exaucent leurs promesses, pas un euro de plus", a précisé le fondateur du projet Live Aid.
De son côté Bono, la star du groupe U2 également très impliqué dans la promotion de l'aide à l'Afrique, a souligné que l'Allemagne avait un rôle particulier à jouer en la matière. "Si vous ne respectez pas vos promesses, les autres (pays du G8) vont quitter le navire", a-t-il affirmé.
"Mme Merkel, nous vous avons à l'oeil!", a lancé pour sa part le chanteur allemand Herbert Grönemeyer, grande star dans son pays, qui prendra part le 7 juin à Rostock (nord-est) à un concert contre la pauvreté organisé en marge du sommet du G8.
Les trois chanteurs participaient à la présentation à la presse du rapport 2007 de l'organisation DATA (Debt, Aids, Trade, Africa), patronnée par Bono, rapport qui se penche notamment sur la manière dont les pays les plus riches ont tenu leurs engagements souscrits à Gleneagles en juillet 2005.
A cette occasion, les sept pays les plus industrialisés, plus la Russie, avaient promis d'annuler la dette publique multilatérale de 35 des pays les plus pauvres et d'augmenter de 25 milliards de dollars d'ici 2010 leur aide aux nations les plus démunies.
Or, selon DATA, seuls le Royaume-Uni et le Japon ont jusqu'à présent rempli leur part de cette promesse. L'ensemble des pays du G8 ont augmenté leur aide au développement de 2,3 milliards de dollars entre 2004 et 2006, mais "c'est moins de la moitié de ce qui aurait dû être fait", a souligné Jamie Drummond, de DATA.
Face à ces mauvaises performances des pays riches, Bono a déclaré qu'il pouvait "comprendre la colère" des milliers de manifestants qui s'apprêtent à converger vers Heiligendamm (nord-est) dans le cadre du contre-sommet du G8, début juin. Si les pays du G8 n'honorent pas leurs promesses, cela ne pourra qu'attiser la colère des activistes, a souligné le chanteur, précisant cependant qu'il était "opposé" à l'usage de la violence dans de telles manifestations.
"Je comprends leur colère, je l'ai ressentie moi-même lorsque je suis allé dans un hôpital (africain) et que j'y ai vu des gens faire la queue pour mourir", a lancé la star.
tof- Nombre de messages : 750
Age : 56
Localisation : nogent sur marne
Réputation : 0
Points : 95
Date d'inscription : 28/10/2006
- Message n°68
Re: Musique/Film/Bouquin
2 bouquins à vous conseiller:"mon grand appartement", de Christian Oster et "une pièce montée" de blandine le callet (les deux en format de poche).
Invité- Invité
- Message n°69
Re: Musique/Film/Bouquin
Definition du terme "guerre civile" :
"Les guerres internes à un pays mettant aux prises une partie de la population contre l'autre, sont qualifiées de guerres civiles. Chacun voit dans son ennemi, et même en celui qui voudrait rester neutre, un traitre avec lequel il n'est plus possible de cohabiter, et avec lequel aucun compromis territorial n'est possible"
Il est bon de rappeller que la soit disante plus grande democratie du monde , j entends par la les Etats Unis , est belle et bien en proie a une guerre civile entre les ghettos blacks , latino et asiatique.Les statistiques sont formelles , rien qu a Los Angeles , depuis 1995 , avec 800 morts par an , la guerre des gangs , a fait en 12 ans quasiment 10 000 morts ...
En ce sens , je recommande le film "Freedom Writers" qui illustre bien cet horreur , au cas on aurait cru que cela n existait plus.
Decidemment , quel beau pays que sont les Etats Unis ...
"Les guerres internes à un pays mettant aux prises une partie de la population contre l'autre, sont qualifiées de guerres civiles. Chacun voit dans son ennemi, et même en celui qui voudrait rester neutre, un traitre avec lequel il n'est plus possible de cohabiter, et avec lequel aucun compromis territorial n'est possible"
Il est bon de rappeller que la soit disante plus grande democratie du monde , j entends par la les Etats Unis , est belle et bien en proie a une guerre civile entre les ghettos blacks , latino et asiatique.Les statistiques sont formelles , rien qu a Los Angeles , depuis 1995 , avec 800 morts par an , la guerre des gangs , a fait en 12 ans quasiment 10 000 morts ...
En ce sens , je recommande le film "Freedom Writers" qui illustre bien cet horreur , au cas on aurait cru que cela n existait plus.
Decidemment , quel beau pays que sont les Etats Unis ...
LES BAGOE DANIEL- Nombre de messages : 288
Age : 75
Localisation : NOISY LE GRAND
Réputation : 0
Points : 144
Date d'inscription : 01/11/2006
- Message n°70
Re: Musique/Film/Bouquin
CE SOIR NOUS AVONS VU ( LA VERITE OU PRESQUE )
de simples personnages de la vie en apparence d une grande complexité
la vérite n est pas toujours bonne à dire
à voir
de simples personnages de la vie en apparence d une grande complexité
la vérite n est pas toujours bonne à dire
à voir
Invité- Invité
- Message n°71
Re: Musique/Film/Bouquin
a voir a voir a voir
"road to Guantanamo"
qui montre encore une fois la stupidité de l administration americaine et l horreur de ce camp de concentration moderne ...
"road to Guantanamo"
qui montre encore une fois la stupidité de l administration americaine et l horreur de ce camp de concentration moderne ...
Invité- Invité
- Message n°72
Re: Musique/Film/Bouquin
à tous les érudits...
le groupe Gravenhurst, teints pâles de Bristol, sous médiatisés outre manche, encore une perle du royaume, grandiose, conseillé aux amateurs de Travis, Turin Brakes.
décidemment les canadiens sont décompléxé des oreilles, retenez ce nom : Patrick Watson, bientôt dans tous les Ipods.
B.D : Pascal Brutal de Riad Sattouf, hilarant, du grand n'importe quoi, treiziéme degrés.
B.D (bis) : Persepolis de Marjane Satrapi, peut être certain on été voir le film, l'histoire de l'Iran ses 40 dernières années vue par l'auteur, drôle, touchant, instructif.
Bouquin : un grand classique, Sur la route de de Jack Kerouac, superbe écriture et histoire passionnante, ce n'est pas si courant de nos jours.
le groupe Gravenhurst, teints pâles de Bristol, sous médiatisés outre manche, encore une perle du royaume, grandiose, conseillé aux amateurs de Travis, Turin Brakes.
décidemment les canadiens sont décompléxé des oreilles, retenez ce nom : Patrick Watson, bientôt dans tous les Ipods.
B.D : Pascal Brutal de Riad Sattouf, hilarant, du grand n'importe quoi, treiziéme degrés.
B.D (bis) : Persepolis de Marjane Satrapi, peut être certain on été voir le film, l'histoire de l'Iran ses 40 dernières années vue par l'auteur, drôle, touchant, instructif.
Bouquin : un grand classique, Sur la route de de Jack Kerouac, superbe écriture et histoire passionnante, ce n'est pas si courant de nos jours.
tof- Nombre de messages : 750
Age : 56
Localisation : nogent sur marne
Réputation : 0
Points : 95
Date d'inscription : 28/10/2006
- Message n°73
Re: Musique/Film/Bouquin
Bouquins:
-"les sirenes de Bagdad" de Yasmina Khadra, un livre extraordinaire sur le fanatisme
-"entre les murs", de François bégaudeau, un livre sur la vie d'un collège de Paris 19ème, acheté sur les conseils de Maryline (ma cousine) et qui est franchement drole.
-"les sirenes de Bagdad" de Yasmina Khadra, un livre extraordinaire sur le fanatisme
-"entre les murs", de François bégaudeau, un livre sur la vie d'un collège de Paris 19ème, acheté sur les conseils de Maryline (ma cousine) et qui est franchement drole.
Invité- Invité
- Message n°74
Re: Musique/Film/Bouquin
"cartouches gauloises " est un film qui retrace les derniers mois de la présence française en Algérie,avant l'été 62. Ali un enfant de 10 ans assiste aux drames que vivent des gens simples des deux nationalités dont la vie se brise du fait de l'indépendance qui s'installe ( fonctionnaire muté, harkis abandonné, prostituée pourchassée, pied-noir désespéré, en fuite ou massacré). Lui-meme vit la douloureuse séparation avec ses amis d'enfance. Un film très touchant surtout lorsque des liens personnels vous unissent à ce pays et à cette époque.
A propos du livre de Bégaudeau "entre les murs". Il es à mettre entre toutes les mains de ceux que le mot collégien concerne.
A propos du livre de Bégaudeau "entre les murs". Il es à mettre entre toutes les mains de ceux que le mot collégien concerne.
Invité- Invité
- Message n°75
Re: Musique/Film/Bouquin
dans ce monde de boeuf , de bourrin et de football
, je viens de voir un film qui fait vraiment du bien , sans meurtre , sans flingue , sans prise de tete : "je t'aime Paris" , un hymne a la plus belle capitale du monde...
a voir sans moderation.
![Very Happy](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_biggrin.png)
a voir sans moderation.
|
|
» rentrée
» LE DESERT
» THEO
» PSG
» TIFFANY
» CHARLIE ET VINCENNES
» 2015
» Lily