Sarko President

la mixité a parfois du bon, laissons le temps au temps...

Je suis ok avec toi Fred concernant la mixité. Ce qui m'indispose franchement c'est de voir que certains aujourd'hui ministres se sont allègre(parlons-en de celui là ...)ment foutus de nous pendant la campagne. C'est INSUPPORTABLE !
L'ouverture OUI, le foutage de gueule NON !

Que du bonheur en perspective !!!

"ALLER TRÈS VITE"

Evénement inédit, M. Sarkozy avait reçu les partenaires sociaux avant même son entrée en fonction, semblant vouloir calmer le jeu. Cependant, mercredi, de premières tensions sont apparues entre le premier ministre et les syndicats CGT, CFDT et FO. M. Fillon leur a en effet mis la pression en fixant des délais aux négociations sur un service minimum en cas de grève dans les transports et, pour la première fois, sur un contrat de travail unique, insistant sur la nécessité d'"aller très vite" pour combler le retard français dans la compétition internationale.

De quoi inquiéter les syndicats sur la nature du dialogue envisagé : simple consultation ou véritable négociation ? Echaudés par la création sans concertation du CPE (contrat première embauche), les numéros un de la CFDT, de la CGT et de FO n'ont pas caché mercredi leur irritation. "Si on vient pour qu'on nous dise : 'voilà comment faire', ce n'est pas un débat, et si le calendrier nous est imposé, il n'y a pas de discussions", a lancé François Chérèque (CFDT). Bernard Thibault a prévenu de son côté que si le gouvernement "décide de l'objectif et qu'on nous demande de discuter uniquement des modalités, l'exercice risque d'être écourté". Hostiles à plusieurs réformes prévues (contrat de travail unique, fusion ANPE-Unedic, etc.), les syndicats devraient cette fois se montrer plus prudents.

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j aimerais vraiment etre une petite souris pr pouvoir observer cet entretien entre les syndicats et sarko ...

sinon , je viens de lire des articles sur l economie en Irlande .Je vs rappelle pr ceux qui ne le savaient pas que l Irlande est la 2eme economie per capita la plus flamboyante d'europe et etant en temps d'election la bas , le 1er ministre actuellement en poste depuis le boom economique , un portrait en a ete dressé par le monde avec un detail des mesures qu il avait alors pris a son arrivée pr a priori donner un coup de boost a l economie et fort est de constater que cela a plutot bien marché.Les 2 mesures les plus drastiques furent celles ci :

-reduction de 20% des effectifs de fonctionnaire
-limitation a 10% de l impot sur les societés

qu en pensez vous , est ce adaptable a la france ?
serait ce une bonne ou une mauvaise idee pr la france ?

REAGISSEZ

tout est adaptable, il suffit de le vouloir mais mon cher Mr Bazot, tu connaîs ma position TRES FAVORABLE en faveur de ces pays anglophones...

Le président est-il au dessus des partis ?

Par Anaclet de Paxatagore, mercredi 30 mai 2007 à 13:49.
Le Monde propose un sondage à ses e-lecteurs : : "La participation de Nicolas Sarkozy au meeting de l'UMP du Havre pour les élections législatives vous paraît-elle conforme avec son statut de président de la République ?". Réponses, au choix :

Oui, il doit mobiliser son camp pour obtenir une majorité à l'Assemblée (à l'heure où j'écris : 43.1 %)
Non, il devrait rester au-dessus des partis. (52, 7 %).
sans opinion : 4, 2%.
(16981 votants).

La formule "au dessus des partis" est en soit révélatrice de la vision pyramidale qu'on a en France du pouvoir. On a l'impression qu'on a, en haut de la pyramide, le président de la République, suivi du gouvernement, suivi du parlement. Les ordres viennent d'en haut et descendent progressivement jusqu'en bas de la pyramide. Il aurait été beaucoup plus judicieux d'écrire de Nicolas Sarkozy : "il devrait rester en dehors du jeu partisan" ou "à côté des partis" (il n'est pas dedans, mais il n'est ni dessus, ni dessous).

Mais revenons à la question du Monde. Longtemps, les présidents de la République étaient des personnages falots et sans importance, élus justement parce qu'ils n'avaient pas beaucoup d'importance politique (c'est ainsi que Deschanel a été préféré à Clémenceau en 1919), dans un univers politique plutôt fragmenté. Puis, de Gaulle est venu, marchant sur les flots avec sa haute stature et il a imposé ce "style présidentiel", au dessus des partis. De Gaulle ne disait-il pas que toute autorité en France procédait du président de la République ? Il va de soit que, dans ces conditions, on fait semblant de ne pas être trop lié à un parti politique. Ses successeurs, quoiqu'adoubés chacun par un parti politique, ont évité jusqu'à présent d'être trop en lien avec un parti politique, une fois élu. Chirac et Mitterrand n'ont pas "fait campagne" pour les différentes élections législatives (oui, Eolas et Jules, je sais qu'on devrait dire "élections générales").

Cela étant, on a bien compris qu'avec Nicolas Sarkozy, l'institution présidentielle était en train de changer de nature, sur un mode beaucoup plus présidentiel. Le président tend à être d'avantage un chef de l'exécutif qu'un chef de l'Etat. Chef de l'exécutif, il a besoin d'une majorité parlementaire et il est donc logique qu'il fasse campagne en ce sens auprès des électeurs. L'avenir dira si Nicolas Sarkozy va tirer toutes les conséquences de ce positionnement nouveau, en laissant d'avantage d'autonomie et d'initiative au Parlement et en respectant plus que ses prédécesseurs l'indépendance de la justice (sur ce dernier point, on peut d'ores et déjà admettre que divers propos proférés quand il était ministre de l'intérieur sont plus que préoccupants).

Ce changement dans le régime, que ce blog va évidemment s'attacher à décrire par petites touches impressionnistes, risque fort de dérouter. Les présidences de MM. Mitterrand et Chirac étaient royales. Le roi dirigeait les affaires, de loin, se montrant peu, du moins en France, exposant ses troupes au feu médiatique. Nicolas Sarkozy semble vouloir être d'avantage un "super-premier ministre".

Au risque que les décisions qui relèvent réellement du président de la République, ne soient plus légitimes puisque trop partisanes.

Smic: l'écran de fumée du gouvernement
Xavier Bertrand / Reuters
Le Smic devrait être augmenté de 2% le 1er juillet, soit l'augmentation strictement légale — sans «coup de pouce», donc. Mais le gouvernement entretient le flou sur cette question sensible à trois jours du second tour des législatives.


Le Smic devrait augmenter de 2% au 1er juillet, pour atteindre 8,44 € brut de l'heure, selon le quotidien économique les Echos. Cette revalorisation correspond à l'augmentation légale (l'inflation plus la moitié de la hausse du salaire horaire). Pas de «coup de pouce», donc, comme comme avait prévenu Nicolas Sarkozy pendant la campagne présidentielle.


Le gouvernement tente d'entretenir le flou sur cette question à quelques jours du second tour des élections législatives. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, refuse ainsi de confirmer le chiffre donné par le quotidien économique les Echos. Mais il prononce en même temps le mot «coup de pouce», ce qui lui permet de brouiller les cartes.


«Nous avons toujours indiqué que le coup de pouce, nous voulions qu'il soit donné à l'ensemble des salariés, pas seulement à ceux qui sont au Smic», a-t-il déclaré ce matin sur RMC.

«On veut augmenter aussi les minima conventionnels parce qu’il y a encore des minima dans les branches qui ne sont pas au bon niveau», a poursuivi le ministre, ajoutant qu’il y aura une «conférence pour l’emploi et les revenus à la rentrée» et des «mesures sur les heures supplémentaires». Tout cela est «du concret pour l’ensemble des salariés, y compris ceux qui sont au Smic», a-t-il ajouté.

Du concret, on en aura en fait seulement le 25 juin, quand la hausse du Smic sera annoncée officiellement après la réunion de la Commission nationale de la négociation collective.
L’ancien ministre PS de l’Economie Dominique Strauss-Kahn a pour sa part constaté sur LCI que «malheureusement» il n'y aurait pas de «coup de pouce» du gouvernement en faveur du Smic. «Ce n’est que le début. Il faut que les Français se rendent compte que la majorité d’entre nous ont élu Nicolas Sarkozy et qu’on va avoir une politique de droite. Cela veut dire moins sur les salaires, plus d’impôts pour les plus démunis, il ne faut pas être surpris.»

Une question : Dsk n'a t il pas été ministre de l'économie ? Et si oui , qu'a t il fait pour les plus démunis ? (c'est juste une question...)

je suis d accord avec toi tof ... pr moi dsk ne vaut pas mieux que les autres , mais j avoue que ce qu il dit a la fin est tres juste ...

sarko qui pete un plomb aux states en appellant la journaliste "imbecile" !!!!!!!

putain ... il est flippant ce president qd meme ... :d

https://www.youtube.com/watch?v=XVFuHyeTtkA

Bonne nouvelle pour le président son salaire annuel sera peut-etre de 240.000 euros par an au lieu de 108.000 ceci afin d'être au même niveau que le premier ministre. Quand a t-il fait grève pour obtenir une augmentation de salaire.?
D'autre part, ila passé le week end à Brégançon avec la famille Fillon et........ Rachida............. il n'aime pas la solitude

rene a écrit:Bonne nouvelle pour le président son salaire annuel sera peut-etre de 240.000 euros par an au lieu de 108.000 ceci afin d'être au même niveau que le premier ministre. Quand a t-il fait grève pour obtenir une augmentation de salaire.?
D'autre part, ila passé le week end à Brégançon avec la famille Fillon et........ Rachida............. il n'aime pas la solitude

ils vont nous faire des p'tits ces 2 là ! mais j'veux pas qu'on m'en garde... (on peut les noyer non ?... t'en penses quoi Cécilia ?)

oui et surtout , y a vraiment pas de quoi pavoiser pr le moment ...

remarque la gauche , c pas mieux non plus en ce moment ...

L'Elysée veut tripler son budget et doubler le salaire du Président
Par Rue89 Droit de suite 14H10 29/10/2007

La loi de finances prévoyait initialement d'allouer 32 millions d'euros à l'Elysée, mais c'est finalement 100 millions qui devraient être accordés en 2008. Et, au passage, le salaire mensuel brut de Nicolas Sarkozy passerait de 8 300 à 20 000 euros. Des augmentations recommandées par la directrice de cabinet du chef de l'Etat, Emmanuelle Mignon, dans une note interne de l'Elysée, révélée par la lettre hebdomadaire Profession politique.

Le candidat Sarkozy n'avait pas caché pendant la campagne présidentielle que le budget de l'Elysée allait très sensiblement s'accroître s'il était élu. Pas pour améliorer son train de vie, mais par souci de transparence. Comme Rue89 l'avait expliqué en mai dans un dossier intitulé "Sarkozy freinera-t-il les dépenses de l’Elysée?", la majorité du personnel travaillant à l'Elysée est pour l'heure rémunérée par son ministère d'origine, ce qui rend opaques les finances du Palais. D'où une volonté de réintégrer ces dépenses dans les comptes de l'Elysée.

Le raisonnement est en revanche différent concernant le salaire de Nicolas Sarkozy. Cette augmentation doit permettre de hisser sa rémunération au niveau de celle du Premier ministre et des chefs d'Etat étrangers, afin de lui assurer une indépendance financière privée. Jusque-là, nombre de ses frais personnels étaient pris en charge par l'Etat. Ce changement avait aussi été réclamé en août par les élus socialistes qui s'offusquaient que de riches amis du Président lui payent ses luxueuses vacances aux Etats-Unis. Une indignation relayée par Rue89, dans son article "Qui doit payer les vacances du Président?"

Ces augmentations ne devraient donc pas alourdir le budget total de l'Etat. Reste que, politiquement, elles pourraient avoir du mal à passer dans l'opinion. Le budget de l'Elysée sera examiné mardi à l'Assemblée nationale.

Les députés UMP se rebiffent contre le gouvernement
Par Julien Martin (Rue89)

Ecrasés par l'ouverture et l'hyperprésidence, les élus de la majorité ont décidé de faire entendre leur mécontentement.

Dépassés et négligés. Quatre mois après les élections législatives, les députés UMP font déjà état de leur vague à l'âme. Ils avaient a priori tout pour être heureux, membres qu'ils sont d'un parti à la tête de la quasi totalité des institutions françaises. Mais voilà, leur indiscutable candidat à la présidentielle s'est mué en un Président discuté. En cause, la politique d'ouverture et l'emballement législatif de Nicolas Sarkozy.

"Mieux vaut ne pas avoir sa carte à l'UMP si on veut avoir un strapontin", entend-on de plus en plus souvent dans les couloirs de l'Assemblée. Les fidèles du Président se sentent en effet délaissés au profit de personnalités de la société civile ou, pire, de l'opposition.

Une absence de reconnaissance qui n'incite pas à l'effort. Les députés UMP sont pourtant plus que sollicités depuis les dernières législatives. Une session extraordinaire en juillet, une autre en septembre, une session ordinaire commencée en octobre sur les chapeaux de roue, et à la clé une kyrielle de textes importants à examiner: paquet fiscal, service minimum, immigration, peines plancher, autonomie des universités, budget...

N'en jetez plus, les députés sont débordés. Pas le temps d'examiner tous les projets de loi. Ce n'est d'ailleurs peut-être pas ce qui leur est demandé. Une seule consigne: voter. Pour, évidemment. Chef d'orchestre de la volonté élyséenne: Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée. Après des débuts très autoritaires, il commence à entendre et à répercuter les doléances des élus de la majorité. En témoigne une interview publiée dimanche dans le JDD:

"Nous, députés UMP, n'aspirons pas à grogner pour grogner mais à débattre avec les ministres le plus en amont possible, afin de ne pas découvrir, après tout le monde, le contenu des textes de loi. Nous voulons être totalement associés aux réformes engagées. Et pouvoir, le cas échéant, les enrichir par nos suggestions sans être mis devant le fait accompli."

Cette amorce de compassion ne l'a cependant pas empêché d'envoyer vendredi soir un fax de remontrances à l'adresse de son groupe. Nouvelles réprimandes donc, après le recadrage du chef de l'Etat le 3 octobre, au lendemain des journées parlementaires de l'UMP: ayant peu goûté la liberté de ton de certains députés, il leur avait fait savoir en les convoquant à l'Elysée.

Quels blasphèmes ont-ils bien pu commettre pour être remis au pas de la sorte? Le dernier en date est l'un des plus révélateurs. Vendredi, lors du vote à l'Assemblée des franchises médicales, les bancs des députés UMP étaient plus que clairsemés. Le socialiste Christian Paul a accusé, en pleine séance, les élus UMP de "déserter" l'Hémicycle afin de ne pas "voter les franchises médicales" prévues dans le projet de budget de la Sécurité sociale.

Très peu se sont par ailleurs déplacés pour voter le projet de loi sur la maîtrise de l'immigration. Peu glorieux de se montrer favorable à l'amendement ADN? Une chose est sûre: il fallait être courageux pour s'y opposer ouvertement. Le villepiniste François Goulard l'a appris à ses dépens. Au cours de la réunion hebdomadaire du groupe à l'Assemblée, le 16 octobre, François Fillon l'a vivement tancé pour avoir assisté deux jours plus tôt au meeting-concert d'opposition aux tests ADN pour le regroupement familial.

Mais la fronde commence à payer. Prévenus le 23 octobre qu'un texte sur le financement du Nouveau centre allait être débattu le lendemain à l'Assemblée, les députés UMP ont participé au chahut qui a contribué à faire ajourner l'examen de la proposition de loi. Sans compter que tous étaient loin de s'accorder sur l'opportunité de modifier la loi sur le financement des partis pour récompenser les amis centristes de Nicolas Sarkozy.

Idem concernant la prochaine réforme des institutions. Pas prioritaire pour certains, pas satisfaisante pour d'autres, elle a finalement été reportée à l'après-municipales du mois de mars. Il faut dire que la dose de proportionnelle prévue n'est pas la bienvenue dans l'Hémicycle. Même le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, y est radicalement hostile.

Les députés de l'ump payent aujourd'hui ce qui arrivait gros comme le nez au milieu de la figure : une personnalisation à outrance du pouvoir, un autoritarisme limite, l'utilisation de la grosse machine UMP pour valider, sans discuter, les idées et décisions du nabot. Rien d'étonnant en fait !!!

pr cette histoire de salaire c est tjrs pareil , on ns demande de nous serrer la ceinture comme sur les retraites, et eux par contre ca tire tjrs ds le meme sens , vers le haut bien sur ...

en meme temps , avoir mis un sarko comme president , fallait pas s attendre a autre chose ...

Un après son élection, les Français doutent de Nicolas Sarkozy

Il est des anniversaires qui tombent mal à propos. Un an seulement après le premier tour des présidentielles, Nicolas Sarkozy qui avait toutes le cartes en main, se trouve dans une situation difficile. Selon le dernier sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, 72% des français se déclarent mécontents de son action, 65% qu’il n’a pas tenu ses engagements, et 50% estiment “peu crédible” son projet pour le pays.

Promesse après promesse les changements tant attendus se font attendre. Le dépoussiérage de l’Etat , n’a essentiellement touché ce jour que le couple présidentiel. Jacques et Bernadette ont laissé la place à Nicolas et Carla. Plus moderne, plus dans l’air du temps mais, tout aussi incapable à créer les conditions d’une dynamique collective. L’hyperactivité, et c’est bien là le fondement de la profonde désillusion, cachait une réelle impuissance servie par des actions brouillonnes, sans cohérence et donc sans lisibilité.

Comme le relève Gérard Noël dans La Liberté de l’Est, “Seulement, vient un moment où le parler-vrai est la seule voie disponible. Nicolas Sarkozy pourra éviter difficilement jeudi soir d’inviter les Français à la patience, voire au sacrifice. Sauf à les bercer d’illusions…” Jeudi en effet, le président a rendez-vous avec les Français, par petite lucarne interposée.

Le charme initial est rompu. Le magicien tend à être considéré au mieux pour un bateleur, au pire pour un charlatan. Personne n’attend sérieusement qu’il sorte des lapins de son chapeau. Juste qu’il se présente pour ce qu’il est censé être, le président de tous les français et non plus celui des magazines people ou de quelques clans

apres le RSA sarko ns migeotte encore un pti coup fumant magnifique , ce n est pas encore confirmé mais il se murmure qu une nvelle taxe va naitre d ici peu .

cette taxe frappera à hauteur de 5 % les sommes versées aux employés au titre de l'intéressement et de la participation. Une taxe destinée à prélever 1 milliard d'euros pour combler une partie du déficit de la Sécurité sociale.

gnifique non ?