Europe

elle est pas belle l action du president sarko !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



je suis ds un sens content , car tt ce qui a pu etre poster ici sur le forum y a un an durant la campagne presidentielle par tt les anti-sarko , s est revelée etre une prophetie !!!!

je suis plus qu´offusqué par le comportement de sarko qui se pose la en tant que dictateur a la tete de l´UE !!!! comment ose t il demander aux irlandais d aller revoter , c est tt bonnement incroyable !!!!



non non , t as mal voter , j aime pas le resultat , recommence mais cette fois vote oui ....



sarko aurait il ete en vacance avec Mugabe ? qui lui aurait alors expliquer quelques principes basiques de la democratie....



je suis vraiment sur le cul , deja en tant que francais , je n apprecie pas sarko , mais si j etais irlandais , je me demanderais qui est cet espece de con qui ose nous demander ca !!!????





putain , heuresement que j habite plus Dublin , jpense qui m aurait foutu sur la geule au pub !!!!


decidemment , on aura tt vu avec ce sinistre _ _ _ de sarko ....

Irlande: avec l'ami Sarkozy, le oui n'a pas besoin d'ennemi

Mardi, Nicolas Sarkozy, actuel président du Conseil européen, déclarait devant des députés UMP que les Irlandais devront revoter sur le traité de Lisbonne. Un traité qu'ils ont rejeté à 53% le 12 juin. Notre président aurait-il confondu vitesse et précipitation? En Irlande, ces déclarations gênent surtout les partisans du oui, qui espéraient arracher quelques concessions avant de reparler d’un éventuel référendum. Et qui ne veulent pas qu'une solution leur soit imposée de l’extérieur.

Selon Dan Boyle, sénateur Verts et pro-traité de Lisbonne joint par Rue89, "le moment est particulièrement mal choisi". Sarkozy doit se rendre en Irlande lundi, et ses déclarations ont donné l’impression aux Irlandais qu’on cherchait à leur forcer la main. Son accueil devrait s’en ressentir.

Pour Dan Boyle, les Irlandais n’apprécient pas vraiment l’ironie de cette situation: voilà que le Président du pays qui a dit non en 2005 et qui a refusé de faire voter le traité de Lisbonne par référendum entend faire… revoter l’Irlande par référendum.

"Des réactions émotionnelles"

De son côté, Pat Cox, ancien président libéral du Parlement européen, confie que "les propos de Sarkozy ont suscité des réactions émotionnelles", peu susceptibles de faire avancer le débat. Ce qui risque de remobiliser le camp du non.

Le gouvernement irlandais a voulu minimiser les déclarations du président français. Le ministre des Affaires étrangères Micheal Martin assure que lors de sa visite, Nicolas Sarkozy sera en "mode écoute". Et non là pour vendre une solution de son cru.

Kathy Sinnott, partisane du non et présidente du groupe Indépendance/Démocratie au Parlement européen, juge ces propos outrageux. Les Irlandais ont voté, et il faut respecter ce vote. Mais au moins, nous dit-elle, le masque est tombé. Elle voit en Sarkozy "un prof qui demanderait à l’élève irlandais de revoir sa copie":

"S’il devait y avoir un nouveau vote, il faudrait qu’il n’y ait qu’un bulletin "oui", puisque de toute manière c’est la seule option que les leaders européens accepteraient."

Les chefs d'Etat avaient pourtant décidé de ne rien décider pour l'instant

Afin de ne pas avoir à commenter les propos élyséens, certains politiques irlandais soulignent qu’il ne s’agit pas là d’une déclaration officielle du Président. Mais pour Eamon Gilmore, leader du parti travailliste irlandais, si ces propos sont confirmés, alors Nicolas Sarkozy a vraiment mis les pieds dans le plat.

De même, l’Independent titrait mercredi: "Sarkozy alimente une nouvelle tempête en pressant les Irlandais de revoter".

Lors du Conseil des chefs d’Etat européens en juin, décision avait été prise de laisser du temps aux Irlandais. Le but? Donner un peu d’air au premier ministre Brian Cowen pour qu’il trouve des solutions d’ici le prochain sommet, en octobre.

Avec un scénario de sortie de crise en tête: avant octobre, presque tous les pays devraient avoir adopté le traité. Depuis mardi, avec le vote positif de l’Espagne, 23 pays ont déjà dit oui. Si les Irlandais étaient les seuls à bloquer l’adoption du traité, cela pourrait les pousser à revoir leur position.

"Sarkozy a été honnête. Il a dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas"

Ainsi, pour Pat Cox, "Nicolas Sarkozy a surtout été honnête. Il a dit tout haut ce que beaucoup d’autres leaders européens pensent tout bas". Mais d’après lui, savoir s’il faut revoter est une question très difficile.

S’il se déclare pour la réforme, il s’agit "de reconnaître l’écart qu’il y a entre les institutions européennes et les citoyens européens". Pour M. Boyle, le gouvernement irlandais devrait d’abord chercher à obtenir quelques garanties supplémentaires sur des points chers aux partisans du non.

Un brin désabusé, Josep Borrell, ancien président socialiste du Parlement européen, comparant la situation au lendemain des non français et irlandais, résume:

"Si la France dit non, c'est un problème pour l'Europe. Si l'Irlande (ou un autre petit Etat non fondateur) dit non, c'est un problème pour l'Irlande."

C'est un putain de dictateur ce SARKO !!!

le pire president que la france ai connu !!!

un gd merci a la majorité ayant voté pr lui !!! on s en souviendra longtemps du regne de naboléon ...

L'Europe coincée entre inflation record et croissance faible


C'est un nouveau record : l'inflation dans la zone euro a atteint 4,1 % en juillet, selon les statistiques provisoires publiées, jeudi 31 juillet, par Eurostat. La hausse des prix ne cesse de s'accélérer depuis l'automne 2007, alimentée par la flambée des tarifs du pétrole et des produits alimentaires.


Le prix du baril de brut a augmenté d'environ 50 % depuis le début de l'année 2008. Si elle reste en deçà de la moyenne européenne en France et en Allemagne, l'envolée des prix est spectaculaire en Belgique (+ 5,91 % en juillet) et en Espagne (+ 5,3 %).

L'Europe doit simultanément affronter des pressions inflationnistes élevées et une croissance faible. Tandis que la crise financière se poursuit, et que l'euro demeure fort face aux autres devises mondiales, de plus en plus d'indicateurs annoncent un sévère ralentissement de l'activité économique pour le reste de l'année.

"La pression sans cesse accrue sur le pouvoir d'achat des consommateurs, du fait de l'inflation des prix du pétrole et des aliments, de l'euro fort et des conditions financières, ne permet plus d'écarter totalement le risque d'une récession", écrivent les économistes de Bank of America dans une récente étude sur la zone euro. La confiance des chefs d'entreprise et des consommateurs de la zone euro a ainsi enregistré, en juillet, son plus fort recul mensuel depuis les attentats de septembre 2001.

Pour la première fois depuis près de quatre ans, le taux de chômage a légèrement augmenté en mai au sein de l'Union monétaire, pour atteindre 7,3 % en juin, selon les données révisées jeudi par Eurostat.

La hausse du chômage est très nette dans les économies les plus touchées par le retournement du marché immobilier, l'Espagne, l'Irlande, ou, hors zone euro, le Royaume-Uni. En France, le nombre des demandeurs d'un emploi en CDI inscrits à l'ANPE a augmenté en juin, pour le deuxième mois consécutif, de 0,2 %, et atteint 1,906 million. Cette quatrième hausse depuis janvier confirme un ralentissement du marché du travail.

La hausse des prix représente plus du double de l'objectif fixé par la Banque centrale européenne (BCE), qui était proche de 2 %. Après avoir relevé légèrement les taux directeurs (à 4,25 %) en juillet, Jean-Claude Trichet, le président de l'institut d'émission, craint la mise en place d'une spirale inflation/salaire.

"La BCE toute seule ne peut pas réussir à combattre l'inflation. Les gouvernements devraient coopérer à cette lutte", ajoute le commissaire en charge des affaires économiques et monétaires, Joaquin Almunia.

Ce dernier fait quatre suggestions aux autorités nationales : éviter les politiques susceptibles d'amplifier le ralentissement ; ne pas augmenter les taxes et les prix administrés ; éviter les hausses de salaires dans la fonction publique ; enfin améliorer la concurrence, (on sait cque ca veut dire) en particulier dans les services.



elle est pas belle l Europe !!!???? vive l europe du business et du profit mais par contre ou est elle celle des citoyens et surtout l europe sociale??? je crois qu il arrivera un moment ou les gens devront arretter de seulement contempler leurs nombrils et leurs situations individuelles et devront reagir d une maniere ou une autre ; car ça ne peut plus durer comme ca .Entre nous qui nous faisons bien avoir et qui l avons plus difficile chaque jour et ceux qui a travers le monde le paye de leurs vies , c est une veritable guerre qui est en cours , et nous , occidentaux ne sommes pas sur le front mais a l arriere du champ de bataille et n en regardons que l horreur sur nos ecrans de television comme pour en nier l existance.

Arretons de croire que la sempiternelle alternance droite/gauche va changer les choses , et que surtout que , le PS represente une alternative , c est illusoire.C est blanc bonnet et bonnet blanc, et ce n est pas faire le jeu de l extreme droite que de dire ça, d ailleurs quand l argument extreme doite est invoqué, ce n est qu en faites un pamphlet dedié a nous empecher de trop nous rebeller, attention ! trop remettre en question c est etre d extreme droite.Le monde n a pas besoin de quelques mesurettes plus a gauche ou au centre qu a droite ! NON, mais un d un reel virage a 90 degrés a gauche , et la vraie gauche , pas celle du PS.

Et dans le passé , l histoire l a demontrée , un changement massif dans un pays , cest ensuite comme un jeu de domino , ca inspirera d autres pays aussi,comme la revolution francaise fut en son temps une vague nouvelle de liberté et existence indivuduelle a travers le monde

AUX ARMEEEEEES !!!!!! VIVA LA REVOLUCION !

Vous avez voulu l'europe ,et l'euro vous les avez !!!!!
Arretez de vous plaindre et de tout rejeter sur NICOLAS !!!!!
Il n'est pas la cause de tous les maux que la france connait !
Il a OSE ce que personne n' avoulu ose auparavant!!!
Prendre les sujets a bras le corps,de l'audace encore de l'audace ,voila ce qui gene !!!!!!!!!!
Assez de l'immobilisme!!!!!

c est bien beau tonton (ou tata d ailleurs ) de dire que sarko est audacieux , qu il fait des choses osées , mais qu a t il fait reellement ? pr l instant , je ne vois aucunes ameliorations pr le francais lambda , a moins de considerer que dans francais lambda on inclut les patrons de multinationales.

si s appreter a faire exploser le code du travail , s´insurger contre un vote qui va a l encontre de ses convictions ds un pays etranger (irlande pr le mini-traité) , faire des cadeaux fiscaux enormes au grand groupes , brider l etat dans ses moyens de lutte contre les fraudes fiscales , bref je m arrette la car la liste est tres tres longue ....si ca en tt cas tt ça c est de l innovation , je ne vois pas ce qu elle a de positive !

ah si , les droits de succession ... super !

L’ "effet Sarkozy" en Irlande : le Non gagne encore du terrain


respect the irish voteDans notre article délicatement titré Et en plus il est con !, nous commentions la phrase de Nicolas Sarkozy affirmant que "les Irlandais devront revoter" ainsi : "Félicitons-nous de sa maladresse : s’il voulait plomber Lisbonne, il ne s’y prendrait pas autrement !" Le dernier sondage publié, réalisé après la visite du président à Dublin et cité par Le Monde, nous donne raison : 71% des Irlandais sont opposés à un nouveau référendum, 67% trouvent que les politiques européens ne respectent pas leur Non et, si une deuxième consultation devait se tenir, ils seraient aujourd’hui 62% à voter non, soit 9 points de plus qu’à l’occasion du référendum du 12 juin : Bravo Sarko !