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    Message par Invité Ven 29 Déc - 23:34

    Comme son nom l indique ...
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    Propagande US et cie Empty Re: Propagande US et cie

    Message par Invité Ven 29 Déc - 23:38

    Un tres bon article pris sur le reseau voltaire , concernant le terrorisme d etat non revendiquer .

    http://www.voltairenet.org/article144415.html
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    Message par Invité Ven 5 Jan - 22:54

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Project_for_the_New_American_Century

    Cool
    Frantz
    Frantz


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    Message par Frantz Sam 6 Jan - 16:26

    les américains sont donc eux-mêmes des moudjahidines ! guerre sainte et tous le tralala... j'en rigolerais presque si ce n'était pas eux et leurs homologues "arabes" qui foutaient tout ce bordel !

    tiens, je crois que je vais aller vomir...
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    Message par Invité Sam 6 Jan - 23:45

    l ennemi arabe n existe , il est crée de tte piece , c est de la pure propagande faite pr s approprié leurs petroles ...
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    Message par Invité Mar 23 Jan - 22:20

    L’Iran et la Syrie : nouvelles cibles de Bush ?
    Maintenant, tous les ingrédients sont réunis pour une déflagration générale au Moyen-Orient. Bush et les néoconservateurs y ont travaillé avec une attention méticuleuse. Sur tous les fronts, ils ont préparé le combustible qui sera allumé au moment voulu.



    Je crois que, jamais, depuis la fin de la guerre froide, le monde n’a connu une situation aussi grave. Alors que la guerre en Irak s’enlise, et au moment où les opinions publiques américaine et mondiale s’attendaient à des décisions courageuses de la part de l’administration Bush, annonçant et préparant un retrait digne, ne voilà-t-il pas que ce dernier, faisant fi des recommandations du rapport Baker et des orientations du nouveau Congrès, s’entête à poursuivre une guerre perdue d’avance ; pire, à envoyer davantage de troupes en Mésopotamie.
    Mais le plan de Bush, ou ce que l’on appelle sa nouvelle stratégie, va au-delà de l’Irak. Nous savons que la répression et les exactions, sur fond de violences confessionnelles, vont s’intensifier. Il y a pire.

    Un décret secret
    Des informations crédibles font état de préparations pour des actions militaires « punitives » contre l’Iran et la Syrie. On parle d’un décret secret qui aurait été envoyé par le président Bush au secrétaire de la Défense et à la CIA. Bien que cela paraisse invraisemblable, puisqu’il n’y a pas eu de débat au Congrès et que l’opinion publique en est tenue à l’écart, cette décision semble répondre aux vœux des néoconservateurs d’en découdre avec les deux pays qui leur semblent être les principaux obstacles à une « normalisation » en Irak. D’ailleurs, le président Bush les avait clairement menacés, tout en exprimant ses souhaits de voir les autres régimes arabes collaborer étroitement avec sa nouvelle politique.

    Certains analystes considèrent l’attaque de la représentation iranienne à Irbil comme une première salve de cette nouvelle guerre dont les semaines prochaines nous livreront une idée plus précise. Cette opération, hasardeuse et dénoncée partout, visait à créer une réaction iranienne qui aurait servi de prétexte à de nouvelles actions militaires américaines. Certains pensent d’ailleurs que les nouvelles unités qui ont commencé à débarquer à Bagdad ne visent pas à renforcer les effectifs se trouvant au centre de l’Irak, mais seraient plutôt déployées près de la frontière iranienne ; d’autres troupes devant se rendre du côté syrien.

    Mais si la menace contre l’Iran et la Syrie est claire, nous ne savons pas exactement quel sera le rôle futur des régimes « alliés » de la région, à commencer par ceux de l’Arabie Saoudite, de Jordanie et d’Egypte ? Le déplacement de Condoleeza Rice dans la région, ces derniers jours, n’avait pas simplement pour objet la question palestinienne. Il s’agissait de prendre la température après le dernier discours de Bush annonçant sa nouvelle stratégie. Le plan des néoconservateurs est très clair : présenter le péril nucléaire iranien comme une menace sérieuse planant sur tous les pays arabes sunnites ou à majorité sunnite. L’exécution de Saddam Hussein et les divisions confessionnelles, sur fond de violence quotidienne, servent à manipuler les pouvoirs et les peuples de la région qui vont croire que leur ennemi principal n’est plus l’agresseur, la puissance qui menace la paix et tue pour le pétrole, mais l’Iran.

    Silence et « appui » arabes
    Il est vrai que l’Iran a des intérêts propres - répondant à son profil de puissance régionale avérée-, qui ne sont pas ceux des pays arabes du Golfe. Mais l’antagonisme confessionnel, attisé par Washington, ne sert pas les peuples de la région. Il est actuellement le principal détonateur pouvant allumer le feu dans toute la zone. Au vu de l’état d’esprit régnant actuellement chez les uns et les autres, l’entente et la détente nous semblent s’éloigner de plus en plus des horizons de ce Golfe devenu instable depuis l’entrée des GI lors de la première guerre d’Irak.

    Tout va dans le sens du pire et les néoconservateurs jouent vraiment à l’aise : ils disposent d’appuis solides dans la région et leurs prochaines aventures militaires ne verront pas une quelconque remise en cause de la part des régimes locaux. La direction saoudienne ne vient-elle pas de déclarer qu’elle appuyait fortement la nouvelle stratégie de Bush ? Quant à la colère du roi de Jordanie - ami des Américains - contre les chiites, elle ne s’explique pas seulement par sa « solidarité » vis-à-vis des sunnites d’Irak. Enfin, Moubarak est le principal allié de Washington et l’aide conséquente de cette dernière l’empêche de se désolidariser de toute action qu’elle entreprendra.

    A la question du sénateur Biden, au sujet de ce qu’elle pensait de l’autorité constitutionnelle du président à poursuivre, de l’autre côté de la frontière irakienne, en Iran ou en Syrie, les « réseaux », Condoleeza Rice a répondu, il y a quelques jours : Je pense que tout le monde comprendra cela : les Américains et moi supposons que le Congrès s’attend à ce que le président fasse ce qui est nécessaire pour protéger nos forces.

    Ce à quoi le sénateur Biden avait rétorqué : Madame le Secrétaire, je veux juste qu’il soit clair, en parlant pour moi, que si le président concluait qu’il devait envahir l’Iran ou l’Irak afin de poursuivre ces derniers - ou la Syrie - à la poursuite de ces réseaux, je pense que l’autorisation actuelle accordée au président pour utiliser des forces en Irak ne couvre pas cela, et qu’il a besoin d’une autorisation du Congrès pour le faire.

    Visiblement, l’escalade actuelle, qui n’est pas sans rappeler l’épisode cambodgien de la guerre du Vietnam, risque d’entraîner toute la région dans une guerre sans fin. Une guerre qui pourrait précipiter le monde dans un conflit d’une nature autrement plus meurtrière que les précédents. Voire, un conflit où l’atome pourrait être utilisé pour la première fois à large échelle. Et personne n’y échapperait.

    La question est de savoir si les Terriens en sont conscients.
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    Message par Invité Ven 9 Fév - 15:53

    Les motivations de Bush en Afrique
    Le président des USA a décidé officiellement d’installer ses soldats sur le continent africain. Les responsables du Pentagone ont pris la peine de prendre et nouer des contacts avec certains pays «amis». Depuis les attentats du 11 septembre 2001, Bush s’est attelé à renforcer la présence des Marines en Afrique, à travers diverses manœuvres militaires. Le président américain George W. Bush vient d’ordonner la création d’un centre de commandement militaire spécial pour l’Afrique, d’ici le mois de septembre 2007.



    Le secrétaire à la Défense Robert Gates, a annoncé, devant la commission sénatoriale des forces armées que le président Bush souhaitait créer un centre de commandement militaire spécial pour l’Afrique, d’ici le mois de septembre 2007. Ce commandement spécial sera chargé de développer la coopération militaire américaine avec les pays africains et de mener des opérations militaires si nécessaires. Il faut bien se douter que son cahier de charges officiel ne devrait pas se restreindre au développement de la coopération militaire. Les cinq commandements régionaux américains implantés dans le monde, sont la manifestation la plus tangible de la puissance militaire des Etats-Unis. Leurs responsables, généralement des généraux quatre étoiles, sont tellement influents qu’ils rendent directement compte au président des Etats-Unis et non pas aux ambassadeurs américains dans les pays où ils sont installés.

    L’Afrique ressortait de trois commandements différents au sein des forces armées américaines. La plupart des pays africains sont gérés par le commandement européen, basé à Stuttgart en Allemagne.

    La Corne de l’Afrique relève du commandement central qui, basé à Miami en Floride, gère aussi le Proche-Orient et l’Asie Centrale. Enfin, les îles au large du continent, telles que Maurice et Madagascar, font partie du commandement du Pacifique, dont le quartier général est situé à Hawaï. Désormais, l’ensemble de l’Afrique, y compris les îles, sera géré par le nouveau commandement spécial. A l’exception toutefois de l’Egypte qui continuera à relever du commandement central, en raison, manifestement des liens étroits de ce pays avec le Proche-Orient. Dans un premier temps, le commandement Afrique sera basé à Stuttgart en Allemagne, mais devrait à terme être installé sur le continent. Pour le secrétaire à la Défense, “ ce commandement permettra aux Etats-Unis d’avoir de l’Afrique une approche plus efficace et plus intégrée, comparée à l’approche actuelle qui est un vestige de la Guerre Froide ”.

    La lutte contre le terrorisme

    L’idée d’un commandement militaire spécial pour l’Afrique, fait son chemin au Pentagone depuis l’année 2003. Elle traduit le nouvel intérêt stratégique des Etats-Unis pour ce continent. Bush et ses faucons entendent commencer leur guerre préventive contre le terrorisme à des milliers de kilomètres de leurs frontières. Et l’Afrique, présentée comme un terreau favorable pour les terroristes, leur paraît incontournable. L’Afrique de l’Est inquiète tout particulièrement les responsables de l’antiterrorisme américain qui voudraient l’empêcher de prendre le relais de l’Afghanistan comme base arrière de Al-Qaïda. Cette partie de l’Afrique est depuis plus de cinq ans, l’objet de toutes les attentions de l’armée américaine qui y a installé, à Djibouti, notamment, sa plus grande base militaire sur le continent, avec près de 1800 militaires. La marine américaine a également déployé dans l’Océan indien, au large de la Somalie, un groupe aéronaval autour du porte-avions Dwight D. Eisenhower.

    Les Américains se souviennent des attentats contre leurs ambassades de Dar-es-salam en Tanzanie et de Nairobi au Kenya, ils voient des foyers potentiels de terrorisme un peu partout sur le continent. Ils soupçonnent par exemple le GSPC algérien (Groupe salafiste pour la prédication et le combat), de vouloir créer un “ Al-Qaïda du Maghreb et du Sahel ”. Ils estiment que la région du Sahara, peu peuplée, et notamment la Mauritanie et le Mali, seraient des lieux potentiels pour les activistes. Même l’Afrique Centrale, l’Afrique de l’Ouest et des pays comme le Nigeria et l’Afrique du sud constitueraient des motifs d’inquiétude, au regard d’une part, des activités de collectes de fonds et de recrutement opérées par le passé par Al-Qaïda et d’autre part, de la pauvreté rampante dans la plupart des pays africains qui pourrait bien faire le lit du terrorisme.


    Terrorisme : prétexte pour les hydrocarbures


    Les Etats-Unis sont soupçonnés d’amplifier le risque terroriste en Afrique pour justifier leur militarisation de ce continent à des fins notamment d’exploitation de son sous-sol. L’Afrique, on le sait, fournit déjà près de 20% du volume des hydrocarbures consommées aux Etats-Unis. Les importations américaines de pétrole africain devraient même dépasser le cap des 25% en 2015.


    Il est donc vital pour les américains de garantir par tous les moyens, leur accès futur à ce pétrole, surtout au moment où la Chine, la plus grande nation, de plus en plus gourmande, s’intéresse aux matières premières africaines et étend son influence sur ce continent. La Chine multiplie des accords de développement et de coopération économique.
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    Message par Invité Ven 2 Mar - 14:51

    ah oui tenez , ca fait tjrs du bien a se rememorer ... :

    660 milliards de dollars = ce que les states ont claqué dans leur croisade en Irak
    25 milliards de dollars = ce qui les states ont consacré à la recherche contre le sida



    le gouvernement us ferait mieux de transferer ces fonds directement sur les comptes bancaires des sociétés comme halliburton et consort ca aurait au moins le merite d'arriver a la meme situation avec des morts et une guerre en moins...c'est ouf de voir ca , bush endette a mort le pays , le contribuable ricain alors que le complexe militaro industriel se gave.....

    pale
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    Message par Invité Ven 23 Mar - 15:40

    http://www.armees.com/L-Iran-serait-attaque-debut-avril-experts-militaires-russes,18261.html
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    Message par Invité Mer 28 Mar - 14:18

    Le Sénat vote en faveur d'un retrait des troupes américaines d'Irak en mars 2008

    WASHINGTON (AP) - Malgré la menace de veto exprimée par George W. Bush et par une courte majorité, le Sénat américain, contrôlé par les Démocrates, a apporté son soutien mardi à un retrait des troupes américaines d'Irak d'ici mars 2008.

    Les tentatives républicaines pour empêcher ce vote se sont révélées impuissantes puisque le soutien au retrait des troupes a été accordé par 50 voix contre 48. Ce vote constitue le plus grand défi lancé à ce jour par le Sénat à l'administration Bush à l'origine d'une guerre qui a déjà coûté la vie de plus de 3.200 soldats américains.

    Trois mois après que les Démocrates ont pris l'avantage au Congrès, le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a déclaré que le moment était venu d'"envoyer un message au président Bush: il faut désormais trouver une nouvelle issue à cette guerre insoluble."

    Les Républicains - et le sénateur Joseph Lieberman, démocrate indépendant -, ont quant à eux fait valoir des arguments inverses.

    Le président Bush avait pour sa part prévenu qu'il mettrait son veto à tout texte qui fixerait une date-limite au retrait, et la Maison Blanche a renouvelé sa menace quelques heures avant le vote. "Ceci et d'autres dispositions feraient courir un grave danger à la liberté et la démocratie en Irak, renforceraient nos ennemis et hypothéqueraient les projets de l'administration américaine pour développer l'économie irakienne", a fait savoir la Maison Blanche dans un communiqué. AP
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    Message par Invité Jeu 26 Avr - 16:55

    Comment se préparer à l'invasion extraterrestre ?


    Travis Taylor et Bob Boan viennent de mettre fin à l'écriture d'un rapport intitulé "Introduction à notre défense planétaire" qui explique le plus sérieusement du monde comment l'humanité pourrait se défendre si des "Aliens" utilisant des armes inconnues se présentaient aux portes de notre atmosphère Terrestre.




    T.Taylor et B.Boan ont effectué ce travail de consultation à la demande du département de la défense des Etats Unis (DoD) et de la NASA

    Le rapport insiste sur la probabilité très forte que ces "étrangers" existent bel et bien et qu'ils sont assez avancés technologiquement pour venir jusqu'ici. T.Taylor est un spécialiste de l'astronomie et de la physique dans une société de consulting et cette étude est éditée par BrownWalker Press.

    Le rapport s'appuie sur les travaux de Fermi et de Drake pour estimer les probabilités d'une visite extraterrestre de notre planète et conclu qu'il est très probable que notre voie lactée héberge des milliers d'espèces intelligentes et qu'il y a "une chance élevée" qu'une ou plusieurs de ces civilisations visitent la Terre régulièrement.

    Ils reviennent sur le paradoxe de Fermi ("si ces civilisations viennent nous rendre visite, pourquoi ne les voit-on pas ?") pour le réprouver et affirmer qu'il se trompait car des observations sont faites régulièrement de part le monde depuis des siècles. Taylor et Boan ont commencé à réfléchir sur la façon de répondre à une attaque extraterrestre agressive lors d'une conversation en 2001 au sujet de la défense du territoire contre la menace terroriste.

    "Une attaque extraterrestre serait une guerre éclair et fortement déséquilibrée, nous aurions alors besoin d'un plan d'urgence en réserve. Un manque de préparation reviendrait à combattre avec des "bouts de ficelle" face à un tel déferlement de puissance, plus ou moins à la même manière des extrémistes Islamiques qui ont lutté contre les militaires Américains en Irak. Il faudrait créer un formidable mouvement de résistance, ce serait notre meilleure défense" a déclaré T.Taylor en citant le film "Indépendance day" !

    Source : Reuters.com


    lol!

    http://www.reuters.com/article/domesticNews/idUSN0934498720070425
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    Message par Invité Dim 17 Juin - 13:37

    LE PNAC

    par Raoul Marc JENNAR, chercheur altermondialiste

    Connaissez-vous le PNAC ? Non ? C’est dommage et c’est une erreur. Car si vous ne vous intéressez pas au PNAC, lui, il nous concerne. Nous, c’est-à-dire tous ceux qui ne sont pas citoyens des Etats-Unis d’Amérique. Car PNAC, c’est l’acronyme de Project for the New American Century.

    Qu’est-ce que c’est que ça, me direz-vous ? Le PNAC, c’est ce qu’on appelle aux USA un think tank. Un réservoir à penser. Bref, un centre d’études, comme on dirait chez nous. Mais comme souvent dans le monde anglo-saxon, c’est un centre d’études privé, disposant de moyens considérables et dont l’objet est éminemment politique. A l’image de celui dont je traitais la semaine passée, le Groupe de Bilderberg. C’est d’ailleurs un des petits derniers du genre puisqu’il a été fondé en 1997.

    Son objectif est loin d’être mineur : en anglais cela s’énonce American Global Leadership. Ce qui peut se traduire par « direction américaine du monde ». Rien de moins ! La pertinence de l’objectif est motivée par la conviction que ce qui est bon pour les Etats-Unis est bon pour le reste du monde et donc que la direction du monde par les USA profite à la fois aux USA et au reste de la planète. Il s’agit dès lors, par l’argumentation et l’influence, de faire pression sur les décideurs des USA et quelques autres afin qu’ils agissent dans ce sens. Le rôle du PNAC est d’amener les décideurs américains à user de tous les moyens nécessaires pour assurer et garantir la suprématie des USA.

    Quant aux moyens pour y parvenir, le PNAC souligne que chaque fois que la diplomatie est défaillante, c’est l’usage de la force auquel il faut recourir. Pour renforcer l’action diplomatique américaine, le PNAC propose d’installer des bases militaires US sur l’ensemble de la planète.

    En 2000, le PNAC a publié un rapport intitulé « Reconstruire les défenses de l’Amérique ». On peut y lire ceci : « A l'heure actuelle, les Etats-Unis ne sont confrontés à aucun rival global. L'objectif d'une stratégie américaine ambitieuse devrait être de préserver et d'étendre cette position avantageuse aussi loin que possible dans le futur. » Pour le PNAC, les Etats-Unis doivent maintenir une supériorité militaire stratégique en basant la dissuasion nucléaire américaine sur une appréciation globale d’un réseau nucléaire qui mesure l’ensemble des menaces courantes et émergentes, pas seulement l’équilibre entre les Etats-Unis et la Russie. Les effectifs des forces américaines doivent passer de 1,4 millions à 1,6 millions de soldats. Les forces américaines doivent être repositionnées vers l’Europe du Sud-Est et vers l’Asie du Sud-Est, et en changeant les modèles de déploiement naval afin de refléter les inquiétudes croissantes concernant l’Asie du Sud-Est.

    Le PNAC propose de moderniser de façon sélective les forces américaines et de développer et déployer une défense balistique globale pour « procurer une base sûre à la projection de la puissance des Etats-Unis dans le monde entier ».

    Il propose également que les USA contrôlent ce qu’il appelle « les nouvelles parties communes internationales » que sont l’espace et le cyberespace et pavent la route pour la création d’un nouveau service de l’armée – les Forces Spatiales Américaines – avec pour mission de contrôler l’espace.
    Le XXe siècle nous avait hélas habitué aux fous furieux qui avaient la prétention de dominer le monde. On pensait qu’un projet d’une telle nature – la domination du monde par un seul pays – relevait du délire. Mais le lecteur attentif aura déjà noté que certaines propositions du PNAC sont devenues non seulement celles du gouvernement américain, mais également celle des vassaux des USA réunis au sein de l’OTAN.

    Pas étonnant quand on sait que le PNAC compte parmi ses dirigeants Donald Rumsfeld, ancien secrétaire à la Défense, Paul Wolwofitz, ancien président de la Banque Mondiale après avoir été l’adjoint de Rumsfeld, Jeb Bush, gouverneur de Californie et frère du Président des USA, Dick Cheney, vice-président des USA et Richard Perle, un des théoriciens du néo-conservatisme américain, hostile à toute forme de multilatéralisme et défenseur inconditionnel d’Israël.

    Le PNAC est bien un lobby néo-conservateur américain. Ce qui surprend, c’est de trouver dans son comité de soutien Bernard Kouchner, ministre français des affaires étrangères, les « philosophes » français André Glucksmann et Pascal Bruckner, le social-démocrate Massimo D’Alema, ancien président du conseil et actuel ministre italien des affaires étrangères, la travailliste britannique Glenys Kinnock, membre du Parlement européen. Ainsi donc, il y a, aujourd’hui, au sein du Conseil des Ministres de l’Union européenne au moins deux ministres qui sont en faveur de la direction américaine du monde. Bon à savoir.
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    Message par Invité Dim 17 Juin - 14:50

    L'Empire barbare--------------------------------------------------------------------------------



    Tous les hommes sont égaux. « Devant Dieu », s'empressait d'ajouter le Père Debeuklaere, Père Blanc belge au Congo, au début des années 60, juste après l'indépendance, pour bien souligner qu'il voyait tout de même quelques différences, entre nous et les autochtones. Les autochtones qui, tout à fait réfractaires aux cuisinières électriques pourtant toujours en état de marche qu'on y avait laissées, brûlaient sans malice, pour se faire la popote, sur les tapis de Perse, les meubles d'époque des maisons des colons belges qu'ils avaient occupées.
    Nous sommes tous égaux, mais il y a des différences de comportement. Toutes ces différences de comportement entre nous et les autres nous les rendent parfois un peu gênants. Égaux mais dissemblables. Plutôt que de s'aventurer dans les terres mouvantes des différences raciales et génétiques, on règle bien des problèmes en se bornant à constater que nous sommes, les uns les autres, de « cultures » différentes. Pour le reste, Dieu reconnaîtra les siens.
    Acceptons donc qu'il y a des cultures différentes. Acceptons que nous sommes tous trop obnubilés par les critères de notre propre culture pour porter un jugement objectif sur la valeur de la culture des autres. Cela admis, on peut en tirer deux conclusions. La première, c'est que puisque nous sommes les produits de notre culture, la paix n'est possible à l'échelle globale que si chaque culture ferme pudiquement les yeux sur ce qui, dans les autres cultures, lui semble de pures horreurs. La deuxième, c'est que chacun devrait être ultimement jugé à l'aune de ses propres principes. C'est au vu de ses valeurs qu'il faut décider finalement de ce qui pour lui est bien et mal et donc juger de sa conduite.
    La première de ces conclusions nous invite à relativiser. Ainsi, je suis personnellement choqué de penser « cannibalisme », tout en reconnaissant qu'il n'est pas objectivement plus irrespectueux de servir le défunt en côtelette à ses amis que de le réduire en cendres ou de le faire bouffer par les vers ou les oiseaux. De la même façon, je n'aime pas la façon dont certaines cultures traitent leurs femmes et d'autres leurs vieillards. J'espère qu'un jour on verra toutes les cultures accorder à la femme tous ses droits. Cela dit, dans bien des pays musulmans, des partis islamistes qui affirment clairement la sujétion de la femme à l'homme ont remporté des majorités indiscutables, dans des processus électoraux tout à fait démocratiques auxquels a participé une vaste majorité de l'électorat féminin.
    Il faut être fier de sa propre culture, sans quoi on n'a pas vraiment de culture. En être fier, soit, mais l'imposer, rien n'est moins sûr. Ne vivrait-on pas dans un monde meilleur, si on laissait les tenants de chaque culture ne passer à la culture voisine, même si celle-ci semble avoir le haut du pavé moral, que lorsqu'ils en ont été convaincus par l'exemple et leur propre réflexion ? Je ne crois pas que les femmes de Kabul et de Bagdad aient été toutes d'accord avec notre façon d'être venus les sauver ...
    Il est rassurant de se dire que l'on a indubitablement le bon droit pour soi et de rationaliser son bon droit en référence à une loi naturelle transcendante, mais il ne faut pas oublier que notre définition de cette loi naturelle est elle-même le produit de notre culture. Ainsi, il n'a fallu qu'une seule phrase de la Genèse pour que le destin des petits moutons soit d'être transformés en méchouis et il a suffi d'un rêve de Paul de Tarse pour que, chez les Chrétiens, le petit cochon Babe retrouve le chemin de la casserole... Les Hindous, dont le respect de la vie est plus intransigeant que le nôtre, auraient-ils tort de nous interdire d'élever des êtres qui « ressentent » (sentient beings ) pour les tuer et les dévorer ? Si l'Inde avait un jour le pouvoir global dont nous disposons aujourd'hui, trouverions-nous raisonnable qu'elle s'autorise de ses valeurs culturelles pour envoyer un corps expéditionnaire fermer manu militari les abattoirs de l'Occident ?
    Que ces abattoirs, objectivement, puissent être vus comme une abomination, de Sirius aussi bien que de Bénarès, n'est pas ici la question à débattre, mais le droit d'une culture à imposer ses valeurs. Ériger des valeurs culturelles en absolus et en faire dépendre son bon droit est une source d'infamie. On ne devrait brûler personne pour sauver son âme, ni le bombarder pour en faire un végétarien ou un démocrate. La paix n'a pas de pire ennemi que la foi. Une croisade au nom d'une culture est une infamie. Dans un monde où la tolérance est la première condition de survie, le croisé n'a pas le bon droit pour lui.
    L'invasion américaine de l'Irak a été une bêtise - ses résultats en font la preuve ­- mais il est important de comprendre qu'elle a été une bêtise SURTOUT parce que, déguisée en croisade, elle en est devenue une infamie. On n'a pas le bon droit pour soi quand on décime une population pour changer sa culture. C'est parce que l'Amérique n'a pas le bon droit pour elle, qu'elle est à perdre ignominieusement cette guerre.
    Comment pourrait-elle la gagner, quand ceux de ses soldats qui la feraient pour une cause ne voient aucune raison d'y participer, que ceux qui ont une conscience morale n'y croient pas et préfèrent tirer de loin ou de haut, pour ne pas rougir en se voyant la faire ? Sans le bon droit avec eux, ses vrais patriotes font faux-bond à l'Amérique. Ses mercenaires aussi, car qui veut tuer pour une solde s'est aujourd'hui recyclé à profit dans le trafic de la drogue. L'Amérique est à perdre cette guerre parce que, sans héros ni mercenaires, elle ne peut plus mettre au front que des psychopathes, des abrutis et ceux qui n'ont pas le courage de déserter.
    L'Amérique pouvait-elle faire pire ? Elle le pouvait en péchant contre les principes de la culture même dont elle se réclame, puisque, nous l'avons dit, nul ne peut jamais être jugé en dernier appel qu'à l'aune de ses propres principes. Or, c'est cette ultime condamnation que l'Amérique est parvenue à se mériter, hier, en faisant pendre Saddam par ses sbires iraquiens, puisque la voie de la culture occidentale est de traiter le mal comme une pathologie et n'accepte donc plus la peine capitale. L'Amérique s'est mise au ban de la civilisation même qu'elle prétend défendre.
    L'Amérique s'est vengée du cannibale en le dévorant à son tour, ce qui n'apporte rien à la civilisation, mais tout au cannibalisme. Elle s'est ainsi rendue totalement méprisable. Même l'Angleterre et l'Italie, ses comparses européens les mieux inféodés, dénoncent aujourd'hui l'exécution de Saddam Hussein par l'Amérique. Les images de Saddam, insulté sur l'échafaud, affichant à son exécution la dignité d'un Christ au Prétoire, n'aideront pas les USA devant l'Histoire.
    En fait, ce qui restera de cette incursion de l'Amérique en pays arabes, comme des croisades, ce sera une image flétrie de l'Occident. Toute civilisation qui s'étend commet des exactions, mais le pouvoir devrait apporter la mansuétude. Après Auguste, Titus. Le pouvoir absolu qu'exerce l'Occident depuis déjà longtemps aurait dû lui apprendre la magnanimité. Cette exécution du vaincu par le vainqueur, concluant cette invasion barbare en Iraq, vient rappeler que l'Occident n'a pas fait toutes ses classes.
    René Dumont l'avait écrit, il y a déjà 15 ans, lors de la première intervention des USA et de ses alliés en Iraq : CETTE GUERRE NOUS DESHONORE ! Comment jugerait-il aujourd'hui notre déshonneur, s'il avait vécu pour voir cette nouvelle version revue et corrigée du film horreur tourné par l'Amérique en Iraq ! NOTRE déshonneur, car c'est en notre nom que cette abomination est perpétrée.
    L'exécution de Saddam vient corroborer un comportement, dont Guantanamo est un autre exemple, qui semble indiquer que l'Amérique de Bush, comme jadis l'Allemagne de Hitler, s'est bâti une Weltanschauung différente de celle du reste de l'Occident. L'Amérique de Bush, dans le concert des nations occidentales, ne suit plus la mesure ni le rythme. Peut-on lui permettre, parce qu'elle détient la force militaire, de se réclamer de la civilisation occidentale et de s'en prétendre le leader ?
    L'Europe doit prendre ses distances face à l'Amérique. Ce n'est pas une décision facile à prendre, car l'Occident est déjà contesté et une scission entre l'Europe et l'Amérique peut être le point tournant qui mettra fin à la primauté de l'Occident, ce qu'aucun Occidental ne devrait souhaiter. Mais c'est un risque qu'il faut prendre, car autrement, cette primauté ne sera pas seulement mise en péril. Elle sera irrémédiablement perdue.
    Perdue, car la gestion d'un monde dont augmente la complexité - et où l'interdépendance et donc le pouvoir de l'individu augmentent constamment ­- exige la collaboration enthousiaste des participants. On ne peut s'y imposer efficacement qu'en obtenant leur libre adhésion et en étant reconnu comme un modèle, comme un exemple, comme le porteur des valeurs qui font consensus. Or l'Amérique n'est plus un modèle acceptable sur le plan des valeurs. L'Amérique n'a pas encore compris, que le pouvoir croissant de l'individu ne permet plus d'imposer une hégémonie qui ne repose pas sur le respect. Le pouvoir de celui qui est méprisé est nul dans un monde d'interdépendance, quels que soient ses armes et son pouvoir apparent, car l'exercice efficace en sera insidieusement contrarié à chaque pas, comme sont nuls l'autorité et donc le pouvoir du général que ses officiers ne respectent pas.
    L'Amérique n'est plus exemplaire. Elle inspire aujourd'hui le mépris, alors même que d'autres cultures s'offrent à prendre la relève. Ce que je reproche à l'Amérique, ce n'est pas de vouloir garder sa place à l'Occident, mais de s'y employer avec une telle ineptie que nous en sortirons les perdants, sinon les vaincus. L'Occident ne peut garder son rôle de modèle que si l'Europe se dissocie des agissements de l'Amérique. On ne doit plus prendre pour acquis, ni surtout projeter l'image, d'une alliance monolithique entre Europe et Amérique.
    Le refus par la France et l'Allemagne de participer à la razzia sur l'Iraq a été un pas dans la bonne voie. Il faut que les autres Européens fassent aussi le constat que le dernier-né de la famille Occident vit une crise, qu'il lui faudra du temps pour se refaire une vertu et qu'il n'a pas sa place à la tête du clan. Aussi longtemps que Bush et ce qu'il représente ne seront pas extirpés de l'Amérique, permettant que celle-ci redevienne un pays civilisé au sens où nous l'entendons, l'Europe, comme le reste du monde, doit se tenir aussi loin que possible de l'Amérique. Loin d'une Amérique qui se voudrait impériale, mais qui n'est que redevenue barbare.
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    Message par Invité Mer 20 Juin - 15:40

    SUPER SUPER !!!!!

    Encore Zinc !! STP c'est trop Bon !!!
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    Message par Invité Mer 20 Juin - 21:30

    mek ki s interesse a rien ... hihihihihihihi lol!

    je vois que ca te fait bien rire Very Happy , c est pas grave je continuerai !!! des que je lis un article qui m a semblé interessant ou pertinant !!! je le posterais !!!! lol!
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    Message par Frantz Mer 1 Aoû - 9:42

    Rupert Murdoch en passe de prendre le contrôle du groupe Dow Jones
    LEMONDE.FR avec AFP, Reuters et AP | 31.07.07

    Selon le Wall Street Journal, le groupe de médias News Corp. aurait obtenu un soutien suffisant de la famille Bancroft pour faire aboutir son offre de rachat sur le groupe Dow Jones, dont elle est actionnaire. Les membres de la famille Bancroft, qui détient 24 % du capital de Dow Jones et 64 % des droits de vote au sein du conseil d'administration, ont voté, mardi 31 juillet, à hauteur de 32 % en faveur de la vente de leur groupe pour 5 milliards de dollars au magnat des médias Rupert Murdoch.

    Les actionnaires externes à la famille étant globalement favorables à cette vente, M. Murdoch avait besoin de 30 % des voix de la famille pour réussir ce rachat. Pour remporter la mise, News Corp. aurait accepté de payer, en plus du prix de rachat, les frais de conseil de la famille Bancroft pour une somme d'au moins 30 millions de dollars.

    News Corp. et Dow Jones doivent tenir chacun un conseil d'administration plus tard dans la journée de mardi. Selon la chaîne américaine CNBC, l'accord définitif sera signé mardi. Les groupes concernés n'ont pas voulu confirmer ces informations. A la Bourse de New York, à la mi-journée (18 heures à Paris), l'action Dow Jones était en hausse de 12,28 % à 57,89 dollars et celle de News Corp. de 0,18 % à 22,88 dollars.

    Le feuilleton du rachat de Dow Jones et de son fleuron, le Wall Street Journal, que la famille contrôle depuis 1902 a commencé le 1er mai. M. Murdoch avait proposé 60 dollars par action, soit 65 % de plus que le cours du titre en Bourse ces dernières années. Si l'information est confirmée, le patron de presse, contesté, deviendra propriétaire du Wall Street Journal, de l'agence d'informations financières Dow Jones, du magazine financier Barron's et de la base de données Factiva. Ces médias épauleraient considérablement la chaîne financière que veut lancer M. Murdoch le 15 octobre aux Etats-Unis, Fox Business News.



    ça, c'est pas la meilleure nouvelle de la journée !!!
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    Message par Frantz Ven 3 Aoû - 17:56

    Du Mississipi au Congo, les aléas du mort-kilomètre
    Par Pierre Haski (Rue89) 03/08/2007

    Tous les journalistes connaissent une des règles fondamentales du métier: le mort-kilomètre... Traduction: un accident dans le métro londonien avec quelques victimes fera un gros titre alors qu'un accident de train en Inde faisant cent morts donnera à peine une brève. Un nouvel exemple nous en a été offert cette semaine avec l'effondrement du pont sur le Mississipi.

    Tout le monde a vu -y compris sur Rue89- les images spectaculaires de la catastrophe de Minneapolis, qui a fait quatre morts et un nombre encore indéterminé de disparus. Mais qui a entendu parler d'un accident autrement plus meurtrier annoncé le même jour: le déraillement d'un train en République démocratique du Congo (RDC), faisant cent morts et 128 blessés? J'en ai découvert l'existence vendredi par une brève de 17 lignes dans l'International Herald Tribune, qui consacre par ailleurs une demi-page à l'accident de Minneaopolis - ce qui est légitime pour un journal américain. Peu de choses dans les médias français du jour, à part France24 (voir ci-dessous), la chaîne à vocation internationale, qui lui consacre un vrai sujet.

    En l'occurence, le principe est moins kilométrique que de proximité culturelle et de flux d'informations. Un accident aux Etats-Unis, le pays qui domine les circuits d'information mondiaux, sera immédiatement diffusé aux quatre coins de la planète, alors que celui du Congo restera dans un cul de sac médiatique. Y compris, paradoxalement, dans les pays en développement qui auraient plus de raisons de se sentir concernés par l'accident de train congolais qui soulève des questions de sécurité proches des leurs, que de celui de Minneaopolis, qui a moins de raisons de leur "parler". Ils sont, eux aussi, soumis à la domination des circuits d'informations occidentaux, malgré leurs nombreux efforts, pas toujours bien menés, de s'en défaire.

    La morale de l'histoire n'est pas une découverte: il vaut mieux mourir riche et américain que pauvre et congolais, et l'équité n'est pas encore de ce monde, même dans la catastrophe. Mais peut-être appartient-il aux journalistes de contester, quand ils le peuvent, cette règle du "mort-kilomètre" qu'on leur enseigne dans les écoles de journalisme et qui aboutit à faire disparaître des continents entiers de notre champs de vision.
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    Message par Frantz Jeu 16 Aoû - 9:27

    Un étudiant identifie les manipulateurs de Wikipédia

    Par Pierre Haski (Rue89) 15/08/2007
    De la simple correction à la manipulation, toutes les modifications de l'encyclopédie collaborative sont révélées.



    Vous voulez savoir qui ajoute ou retire des informations sur l'encyclopédie collaborative Wikipédia? Qui, surtout, manipule certaines des données pour les enjoliver ou en effacer les aspects les plus critiques? Un étudiant américain a développé une technologie pour le savoir, et a fait quelques découvertes intéressantes.
    Selon un article en ligne du magazine spécialisé américain Wired, Virgil Griffith, un étudiant de l'université technologique CalTech, a développé un système baptisé "Wikipedia scanner", qui permet d'identifier un certain nombre de prédateurs de l'encyclopédie en ligne. Wikipédia permet l'accès à toutes les révisions des articles, et donc aux adresses IP, la "signature électronique" des auteurs des corrections. "Wikipedia scanner" compare ces adresses avec celles des listes publiques d'adresses IP d'entreprises ou d'administrations aux Etats-Unis, soit plus de 30 millions de références.
    Le résultat est spectaculaire: des entreprises qui viennent couper les paragraphes délicats sur leurs notices Wikipédia, la CIA ou des membres du Congrès qui effacent, ajoutent ou corrigent des éléments... Ainsi, la société américaine Diebold, qui fabrique les machines à voter au centre de nombreuses polémiques aux Etats-Unis, apparaît dans cette recherche comme responsable d'une coupe de quelque 15 paragraphes dans la notice la concernant, notamment les critiques techniques et son soutien financier au candidat Bush. Un modérateur de Wikipédia avait alors mis en garde l'anonyme auteur de la coupe en le qualifiant de "vandale", le terme consacré sur l'encyclopédie. La recherche de Griffith l'a mené vers un ordinateur installé au siège de la société... Wired publie quelques résultats amusants, comme le Parti Républicain qui change "occuper" en "libérer" à propos de l'intervention militaire en Irak, ou Fox TV qui fait la promo anonyme de l'une de ses vedettes.
    Ce système et cette étude sont évidemment consacrés aux Etats-Unis. Il semble, d'après vos commentaires ci-dessous, que le système inventé par Virgil Griffith est transposable en France ou ailleurs. Merci à ceux qui ont apporté des éclaircissements techniques, et en particulier à Nico qui donne même quelques exemples que je cite ici: "Le Minefi qui sucre un paragraphe sur l'appartement de fonction de Copé, le ministère de l'Education qui passe la brosse à reluire sur les démêlés judiciaires de Darcos, TF1 qui écrase la polémique sur la légalité du site de sa filiale Jet."
    Quoi qu'il en soit, ce nouvel "outil" vient ajouter un garde-fou supplémentaire au système collaboratif Wikipédia, qui est régulièrement soumis à des doutes sur sa fiabilité du fait de la manipulation possible des données par les personnes concernées. Souvenez-vous du débat Sarkozy-Royal et de la polémique sur la génération de réacteurs nucléaires: dans la nuit, le chiffre a été modifié plusieurs dizaines de fois par les partisans des deux candidats. Sujet à manipulation, le système a aussi généré ses protections, et l'inventivité d'internautes comme Virgil Griffith en est la meilleure garantie.
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    Message par Invité Sam 13 Oct - 14:12

    Les USA inscrivent des opposants politiques dans la base de données criminelle internationale



    La semaine dernière, deux citoyennes états-uniennes, actives dans les mouvements anti-guerre dans leur pays, devaient se rendre à Toronto, invitées par l’organisation canadienne « Stop the War Coalition ». Le 3 octobre, au passage frontière de Buffalo-Niagara Falls, Medea Benjamin (fondatrice de l’organisation Global Exchange) et la diplomate Ann Wright (colonel à la retraite) ont été interpellées par les services secrets canadiens, interrogées et interdites d’accès au territoire. Pour la police canadienne, les deux militantes sont fichées dans la base de données criminelles internationale recensant les individus dangereux.

    « Cette base de données recense normalement les criminels en fuite, les trafiquants de drogue de grande envergure ou les maffieux... mais dans mon cas, l’agent des services secrets avait un dossier sur moi, fourni par le FBI, qui indiquait que j’avais été arrêtée devant la délégation US aux Nations-Unies, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, alors que nous tentions de remettre une pétition contre la guerre en Irak signée par plus de 152 000 femmes à travers le monde » explique Medea Benjamin. « À cause de cela, le Canada me considère comme une criminelle et refuse de me laisser entrer dans le pays ».

    Pour le Colonel Wright, qui a été ambassadrice des USA dans quatre pays, « le FBI a inscrit les noms d’activistes anti-guerre et d’opposants à la politique de Bush dans les fichiers de police internationale qui recensent les criminels. C’est une manœuvre flagrante d’intimidation politique des citoyens US qui ne sont pas d’accord avec la politique menée par leur gouvernement. Et il est regrettable que le Canada prête foi à ce genre de base de données anti-démocratique pour bloquer l’accès du pays à des citoyens innocents ».


    Grégoire Seither
    Journaliste et cyber-activiste franco-allemand. Directeur du bureau français de IES News Service.
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    Message par Frantz Dim 14 Oct - 21:57

    très bons les States, comme d'hab'...
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    Message par Invité Ven 2 Nov - 13:00

    L'auteur des accusations sur les armes en Irak identifié

    NEW YORK (Reuters) - Un transfuge irakien a inventé l'idée selon laquelle Saddam Hussein disposait d'armes biologiques, l'une des menaces invoquées par l'administration Bush pour envahir l'Irak en 2003, a révélé jeudi la célèbre émission d'investigations américaine "60 Minutes".
    (Publicité)

    Rafid Ahmed Alouane s'est fait passer pour un ingénieur en chimie mais c'était en fait un étudiant médiocre accusé de vol, selon l'émission. Il était arrivé en 1999 dans un centre d'accueil des réfugiés en Allemagne.

    "Pour renforcer son dossier de demande d'asile et se donner de l'importance, il a dit à des responsables qu'il était un ingénieur vedette spécialiste de la chimie et qu'il avait dirigé un site, à Djerf al Nadaf, qui fabriquait des armes biologiques mobiles", affirme "60 Minutes" dans un communiqué.

    Le président George Bush et de hauts responsables américains ont accusé Saddam Hussein de posséder des armes de destruction massive menaçant la sécurité des Etats-Unis.

    Mais aucune arme de ce type n'y a été retrouvée et l'opération militaire américaine en Irak, qui devait au départ être de courte durée, est entrée dans sa cinquième année, a coûté la vie à plus de 3.800 soldats américains et à des dizaines de milliers d'Irakiens.

    UNE MISE EN GARDE ALLEMANDE IGNORÉE

    "60 Minutes" a dit avoir retrouvé un mandat d'arrêt visant Alouane en relation avec un vol commis dans les locaux de l'entreprise de production TV Babel, à Bagdad, où il a travaillé. L'émission dit qu'il a étudié l'ingénierie chimique à l'université, mais qu'il a eu de mauvaises notes.

    L'émission, aboutissement de deux ans d'enquête par le journaliste Bob Simon, doit être diffusée dimanche sur CBS.

    "Le directeur de la CIA (de l'époque) George Tenet a donné l'information d'Alouane au secrétaire d'Etat Colin Powell afin qu'il l'utilise dans le discours à l'Onu justifiant une action militaire contre l'Irak", affirme "60 Minutes".

    Ce fut le cas, dit l'émission, malgré une lettre émanant de responsables des services de renseignement allemands affirmant qui si Alouane paraissait effectivement crédible, aucune preuve ne permettait d'étayer ses propos.

    "Par le truchement d'un porte-parole, Tenet a nié avoir jamais vu cette lettre", précise "60 Minutes".

    "Alouane a été percé à jour quand des interrogateurs de la CIA ont enfin été autorisés à le questionner et lui ont opposé des preuves montrant que les faits ne pouvaient pas être tels qu'il les décrivait", ajoute l'émission.

    "Des inspecteurs avaient examiné l'usine de Djerf al Nadaf avant la chute de Bagdad et n'avaient trouvé aucune preuve de la présence d'agents biologiques."




    Mais qd est ce que qu ils vont arretter de nous prendre pour des cons !!!! comme si on pouvait avaler ca , les pauv petits , de l administration bush a la CIA , ils ont ete bluffer par un pauv type , c est pr ca qu ils ont envahi l irak !!!!!! Very Happy
    non mais franchement , quel demeuré en 2007 va adherer a ce genre de propagande !!!!!
    Frantz
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    Message par Frantz Ven 2 Nov - 17:16

    lol... n'importe quel péquin qui mate TF1 et qui ne se pose pas de question cher ami !

    hélas !... n'est ce pas de cette société dont veut Notre Président ? merci à ses électeurs...
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    Message par Invité Jeu 22 Nov - 14:15

    il y a 44 ans jour pour jour , le 22 novembre 1963

    Kennedy etait assassinné , un des plus grands complots de l histoire moderne , les vrais coupables n ont jamais ete incriminés , le pauvre type qu etait Lee harvey Osawald en porte toujours le chapeau ...

    kennedy , 11 septembre , meme combat?
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    Message par Invité Jeu 3 Avr - 14:18

    Afghanistan. Des soldats français pouvaient abattre le chef d'Al-Qaïda mais l'état-major US n'aurait pas bougé.

    «J'avais Ben Laden dans mon viseur»
    Extraits : Des soldats français pouvaient abattre le chef d'Al-Qaïda mais l'état-major US n'aurait pas bougé.

    Les Américains auraient sciemment laissé le chef d'Al-Qaïda prendre la fuite.

    Mais les déclarations des soldats français disant avoir tenu le chef d'Al-Qaïda « dans leur viseur » deux fois à six mois d'intervalle sans avoir reçu d'ordre en retour des supérieurs américains supervisant les forces sur le terrain, s'ajoutent à d'autres témoignages tendant à démontrer une absence singulière de volonté des USA à mettre le terroriste hors-jeu.

    Les affirmations de tel représentant de la Banque mondiale à Kaboul, d'un conseiller du président afghan Hamid Karzaï, ou de Haji Zaher, général de la police afghane, laissent pour le moins une impression troublante sur l'attitude des Américains.

    Les Américains auraient sciemment laissé le chef d'Al-Qaïda prendre la fuite. À deux reprises, en 2003 et 2004, des soldats français ont eu la possibilité de tuer Ben Laden. Chaque fois, les Américains les en auraient empêchés.

    C'est ce qu'ils expliquent dans « Les ratés d'une traque », un reportage des journalistes Éric de Lavarène et Emmanuel Razavi, destiné à une prochaine diffusion à la télévision. Si les Américains n'ont pas réagi, à Paris la riposte a été cinglante. « Pure affabulation », a dit le porte-parole du ministère français de la Défense.

    De Lavarène et Razavi ne veulent pas polémiquer. Mais les déclarations des soldats français disant avoir tenu le chef d'Al-Qaïda « dans leur viseur » deux fois à six mois d'intervalle sans avoir reçu d'ordre en retour des supérieurs américains supervisant les forces sur le terrain, s'ajoutent à d'autres témoignages tendant à démontrer une absence singulière de volonté des USA à mettre le terroriste hors-jeu. Comme s'il leur était plus utile vivant que mort ou éliminé.

    La France avait déployé depuis juillet 2003 quelque 220 membres de ses Forces spéciales en Afghanistan. Ces forces doivent se retirer courant janvier dans le cadre d'une « réorganisation générale » du dispositif militaire français dans ce pays.

    Fin 2003, donc, dans le Sud de l'Afghanistan, près de la frontière pakistanaise, des soldats français du Commandement des opérations spéciales (COS) tombent par hasard sur l'homme le plus recherché de la planète. « J'ai Ben Laden », lâche un militaire qui raconte l'improbable face-à-face.

    Mais, depuis l'état-major US de Bagrham, le COS reçoit, au bout d'un très long moment, l'ordre de laisser partir le fondateur d'Al-Qaïda…

    Quelques mois plus tard, en 2004, le même scénario se reproduit. Simples ratés dans la chaîne de commandement ? Ou, malgré toutes les déclarations de George Bush depuis le 11-Septembre, l'Amérique souhaite-t-elle vraiment capturer l'ennemi public n° 1 ? La thèse n'est pas nouvelle mais elle reprend ici un certain relief : de hauts responsables parlent. Le film ne spécule pas sur les motifs de l'état-major américain, il se contente de donner la parole à des témoins de première main de la traque de Ben Laden. Les affirmations de tel représentant de la Banque mondiale à Kaboul, d'un conseiller du président afghan Hamid Karzaï, ou de Haji Zaher, général de la police afghane, laissent pour le moins une impression troublante sur l'attitude des Américains.

    On y apprend notamment qu'à Tora Bora, dans ces montagnes aux confins du Pakistan et de l'Afghanistan où il avait été localisé, loin de vouloir capturer Oussama Ben Laden, on l'aurait tranquillement laissé s'enfuir avec 70 de ses hommes…

    J.S.


    --------------------------------------------------------------------------------

    «Des témoignages largement recoupés»
    Grand reporter, avec Éric de Lavarène, à l'agence Hamsa Press, Emmanuel Razavi défend son enquête qui devrait être programmée au printemps 2007 sur la chaîne «Planète».

    Que pensez-vous de la réaction du ministère de la Défense ?

    Je suis surpris qu'il parle d'affabulations. Nous sommes connus pour le sérieux de nos enquêtes. Des soldats français nous ont parlé. Nous leur donnons la parole. Ils disent avoir identifié Ben Laden sans marge d'erreur, visuellement et par la voix. Ils sont d'autant plus convaincants qu'ils disent l'avoir repéré par hasard. Ils se bornent à évoquer une hésitation du commandement US quand ils ont transmis l'info. Ce que dit l'un d'eux dans le film (visage flouté et voix modifiée) prend 1 minute dans un reportage qui en compte 52. Ses propos sont recoupés par 13 autres témoignages, notamment de commandants afghans ayant participé à la traque de Ben Laden en 2001. Des témoignages troublants qui soulèvent de nombreuses questions sur la volonté américaine de capturer le chef d'Al-Qaïda.

    Votre reportage met gravement en cause le commandement américain.

    Effectivement. Ainsi Haji Zaher, lieutenant général de la police afghane mandaté à Tora Bora par les Américains, explique comment ces derniers ont préféré frapper à l'aveugle plutôt que d'encercler les lieux où il disait avoir localisé Ben Laden. À l'appui de ses dires, Zaher affirme qu'un émissaire s'est présenté à lui pour le mettre en rapport avec Ben Laden qui aurait été prêt à se rendre. C'était sans doute un piège, mais cela montre que l'on touchait au but. Et son collègue Haji Abdullah explique comment ces mêmes Américains ne l'ont pas écouté quand Ben Laden pouvait être cerné à un autre endroit sur lequel il nous conduit en fournissant un luxe de précisions. Il affirme même qu'il aurait encore aujourd'hui 95 % de chances de les mener au repaire du chef terroriste s'ils lui en donnaient les moyens.


    Afghanistan, lettre ouverte aux Députés et Sénateurs


    Mesdames, Messieurs les Députés et Sénateurs,

    A l’heure où les députés PS déposent une motion de censure contre le gouvernement Fillon suite à la décision de renforcer de près de 1000 hommes la présence française en Afghanistan (après que notre ex-candidat président eut affirmé le contraire en avril avant les élections), il apparaît de plus en plus nécessaire de resituer le débat sur les origines de ce conflit.

    Après les terribles attentats du 11 septembre 2001, G.W. BUSH déclare la guerre aux terroristes présumés responsables de cette tragédie et l’Afghanistan est désigné comme hébergeant leur chef : Oussama ben Laden.
    Le 21 septembre 2001, en direct sur CNN, le porte-parole du gouvernement afghan a déclaré qu’il livrerait Oussama ben Laden à la justice américaine sur présentation de preuves, dont l’existence "accablante" avait été simplement affirmée la veille par Colin Powell. Où sont les preuves ? Elles n’ont jamais été présentées. Oussama ben Laden n’est à ce jour même pas recherché par le FBI pour les attentats de 2001…

    La situation actuelle en Afghanistan
    Où en est l‘Afghanistan aujourd’hui ? Depuis l’occupation étrangère, la production de pavot a atteint des records en 2007 et 47 civils en moyenne meurent pour chaque militaire tombé. Les complexes souterrains afghans de Tora Bora, décrits dans les journaux comme des installations dignes d’un James Bond, n’étaient finalement que de simples grottes vides. Mais tout cela est resté dans l’imaginaire collectif comme suffisant pour justifier une invasion et des bombardements souvent meurtriers pour une population sous le feu de la guerre depuis des décennies.
    L’arrestation de ben Laden fut un véritable échec. On se souviendra aussi de la fuite du mollah Omar en moto. Ben Laden n’a jamais été capturé alors que des militaires français affirment l’avoir eu dans leur viseur. Bref, l’invasion punitive de l’Afghanistan, déclarée le 7 octobre 2001 sous le nom pompeux de "Liberté immuable", a surtout servi à justifier l’occupation d’un pays stratégiquement important pour l’acheminement des ressources pétrolières de la mer Caspienne. Ainsi Amid Karzaï, ancien conseiller du groupe pétrolier américain Unocal, fut bombardé président par le biais de négociations financières et de fausses élections « démocratiques » …

    De la même manière, l‘ancien secrétaire d’état Colin Powell a menti sur les ADM en Irak , l’administration Bush ayant finalement reconnu en 2005 que ces armes n’existaient pas. De même l‘Anthrax brandi par Colin Powell en plein hémicycle de l’ONU s’est avéré être de la simple farine et les seules souches détectées aux USA provenaient de laboratoires américains. Il est donc urgent de réfléchir aux raisons qui justifieraient la présence de militaires français dans une croisade justifiée par des manipulations médiatiques.

    L’exemple Japonais
    Le 10 janvier dernier, le Sénat japonais a refusé de voter la prorogation de l’aide aux troupes de l’OTAN stationnées en Afghanistan (2 navires japonais ravitaillent les troupes de l’OTAN en carburant). Le Premier ministre japonais n’a dû son salut vis-à-vis de Washington qu’avec l’aide d’une procédure exceptionnelle dite du vote à la majorité des deux tiers, employée pour la première fois depuis que le Japon a recouvré sa souveraineté en 1952. Pourquoi ? L’AFP n’en a pas diffusé la raison. Un sénateur japonais centriste, M. Yukihiro Fujita, a publiquement, et avec le soutien de son parti, mis en doute les allégations de Washington quant à la responsabilité de l’Etat afghan dans les attentats de Septembre 2001. Aucune enquête japonaise indépendante n’a été menée. Tout a été décidé sur la foi de simples "renseignements confidentiels" fournis par Washington, attitude qu’une contre-enquête citoyenne internationale en cours remet en cause, et dont le courageux Sénateur s’est fait l’écho. Cette contre-enquête appelle à la réouverture officielle du dossier du 11 Septembre 2001. Car c’est bien là l’origine du déclenchement de la guerre globale contre les terroristes .

    Familles des victimes, Commission d’enquête
    C’est seulement parce que des familles de victimes ont forcé la Maison Blanche à le faire, qu’une simple enquête à valeur administrative a été consentie par la Maison Blanche plus d’un an après (un record de lenteur dans l’histoire de l’administration américaine)… Et le rapport de la Commission d’enquête ne vaut rien, car la méthodologie suivie ne permet pas de « judiciariser » ses conclusions.

    Ainsi, le plus grand attentat de tous les temps sur le territoire des Etats-Unis est en panne d’enquête judiciaire nationale et de procès depuis 6 ans et demi ; seules des procédures privées sont en cours, promises au non-lieu, et la torture (cf. Guantanamo et les propos de GW BUSH ) a remplacé le renseignement et les investigations, sans résultats crédibles comme vous avez pu le constater depuis.

    A la lumière de ces simples constatations préoccupantes, nous vous demandons instamment de surseoir à l’envoi de nos soldats et compatriotes en Afghanistan, car ce serait au nom de raisons que nous sommes à ce jour bien en peine d’identifier avec certitude. Réfléchissons ensemble, ne nous laissons pas gagner par la tentation de l’Atlantisme forcené, mais par une collaboration raisonnée avec la nation américaine.

    Avec la solennité qui s’impose devant ce tournant diplomatique français, recevez, Mesdames, Messieurs les Députés et Sénateurs, l’assurance de notre profond respect envers votre fonction et nos institutions.
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    Propagande US et cie Empty Re: Propagande US et cie

    Message par Invité Mer 23 Avr - 19:25

    Comment l'administration américaine façonne l'information de l'intérieur
    LEMONDE.FR | 20.04.08 | 14h14
    D.R.

    C'est un article fleuve, de ceux que sait produire la presse américaine, une investigation fouillée, qui s'appuie sur l'examen de 8 000 pages de documentation. Le New York Times dénonce dans son édition du 20 avril les liens coupables entre les experts militaires employés par de nombreux médias américains et le Pentagone. Sur le site Internet du journal, les visages de ces analystes font la une, sous la mention "message machine".


    L'article s'ouvre sur un voyage organisé à Guantanamo par l'administration Bush pour quelques uns de ces experts militaires. Chahuté par le scandale de "ce goulag des temps modernes" (expression d'Amnesty International), le gouvernement américain profite de ce voyage à bord de l'avion utilisé normalement par le vice-président pour faire valoir sa position auprès de ces anciens officiers devenus des relais d'opinion.

    Il ne s'agit là que d'un exemple. Pour décrypter ces relations dangereuses entre consultants médiatiques et pouvoir, le journal a obtenu devant la justice que lui soient communiqués toute une série de courriels, transcriptions et documents. A la lecture de ceux-ci, le journal conclut à l'existence de "relations symbiotiques" qui outrepasse la ligne de partage qui doit séparer les journalistes et le gouvernement.

    "FAÇONNER LE TRAITEMENT DU TERRORISME"


    Des documents du Pentagone qulifient ces consultants d'"auxiliaires" chargés de "multiplier la force du message" et de diffuser les "thèmes et messages" de l'administration, en les faisant passer pour "leurs propres opinions". Ces liens sont souvent aussi très concrets : la plupart de ces commentateurs travaillent parallèlement pour des entreprises en contrat avec le département de la défense, sans toujours le révéler aux médias qui les emploie. Pour ces hommes, un voyage tel que celui organisé fin 2003 en Irak est aussi une opportunité rare d'entrer en contact avec ceux qui décident des achats militaires.

    Le Times explique que le système s'est mis en place tandis que se préparait la guerre en Irak et n'a pas cessé de fonctionner depuis. Avec une seul objectif : "transformer les analystes en une sorte de cheval de Troie médiatique, un instrument destiné à façonner le traitement du terrorisme de l'intérieur des grands réseaux de radio et de télévision".


    Interrogé par le journal, le Pentagone a défendu son travail avec ces consultants, en affirmant ne leur avoir toujours fourni que des informations exactes. Pour le porte-parole du DoD Bryan Whitman, "l'intention et le but n'est rien d'autre qu'une tentative sérieuse d'informer le peuple américain". Il ajoute qu'il serait "assez incroyable" de penser que des officiers à la retraite pourraient être utilisés "comme des marionnettes par le département de la Défense".



    les rats commencent a quitter le navire ou comment anticiper un retournement de l'opinion et sauver ses fesses , pitoyable....
    les mecs finissent par se rappeler au bout de 7 ans qu'ils etaient journaliste.....

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